Forum en Gambie: Solution Bay Spirituality appelle à l’unisson des cœurs pour que la paix demeure…

Solution Bay Spirituality (SBS), dirigé par Cheikh Baba Diallo, a tenu son quatrième forum international, ce samedi 27 janvier 2018 à Banjul (Gambie), après Dakar et Kaolack. Le président, Cheikh Baba Diallo a magnifié cet événement, lors de son discours. Le guide religieux est revenu sur les origines de la création dudit Mouvement qui oeuvre pour la paix dans le monde.

Créé au Sénégal, Solution Bay Spirituality tire ses origines d’une volonté et un devoir de lutter contre les maux qui menacent l’humanité. « En effet, l’actualité médiatique nous rappelle constamment que la planète est en danger, nos conditions de vie et celles des générations futures se dégradent, le terrorisme gagne du terrain, la liste n’est pas définitive. Face à ce constat amer, nous avons jugé nécessaire d’agir pour que le monde change« , a rappelé Cheikh Baba Diallo.

Et de poursuivre: « Est-ce par le biais des Etats-nations, des organisations internationales, des individus eux-mêmes qu’il faut agir? Comme l’a souligné Frédéric Lenoir, la réponse se trouve à plusieurs niveaux. Ce fut le début du Mouvement Solution Bay Spirituality dont l’objectif était d’apporter sa contribution à la quête de la guérison du monde en souffrance. Notre mouvement, depuis sa création, ne cesse de poser des actes de nature à sensibiliser les populations sur les enjeux présents et futurs du monde et les défis qui interpellent chacun de nous aux plans social, culturel et écologique« .

Pour cette année, le thème de ce Forum a porté sur « la spiritualité comme principal réponse au monde en crise ». « Nous sommes conscients que la solution est au niveau de chaque individu car nous sommes le monde« , estime le président du Mouvement. A cet effet, il est convaincu que le monde ne changera que si « chacun de nous agit sur son cœur, sa pensée et ses attitudes« . Il prône ainsi pour un « monde apaisé » en passant par le « respect de la diversité et des différences culturelles et linguistiques« .

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