Epreuve bac blanc et promotion homosexualité : Nouveaux rebondissements sur le sujet

La polémique née de l’épreuve d’anglais proposée aux candidats du bac blanc de Rufisque, n’a pas toujours connu pas son épilogue. »SourceA » dans sa parution de ce jour, est retourné prendre la réaction d’acteurs de l’école.

Processus pour la soumission des épreuves

Ababacar Sy, inspecteur de l’Education et de la Formation, ancien professeur d’anglais déclare : « L’administration des épreuves obéit à un processus. Elle ne saurait engager la seule responsabilité d’un professeur »

Sujet rejeté par le corps professoral 

« A la lecture de l’épreuve, j’ai aussitôt dit que ce genre de texte ne doit pas être soumis aux élèves et qu’il s’agit d’une véritable campagne de promotion de l’homosexualité ». déclare Maïmouna Faye, une autre professeure.

Epreuve de force pour maintenir le sujet

Poursuivant, Maïmouna Faye révélera que «le Conseiller pédagogique itinérant, auteur du texte, selon le coordinateur de la cellule, a refusé de retirer le sujet, arguant que c’était un sujet d’actualité et que ce serait injuste de ne pas avoir leur opinion sur la question.»

Témoignage peu reluisant sur l’auteur du texte

I.D, professeur d’anglais abordant ce sujet qui défraie la chronique, se penchera lui, sur la personnalité de l’auteur de sujet. « Je connais bien le professeur en question. Il a été dans mon jury de Bfem en 2014. Qu’il commette une bévue de genre ne me surprend pas. »

4 COMMENTAIRES
  • charles

    UN SUJET D’ACTUALITÉ :
    MACKY SALL ACHÈTE UN AVION ET UNE VEDETTE DE CROISIÈRE EST IL
    EN ACCORD AVEC LES CONDITIONS DE VIE DES SÉNÉGALAIS ???
    CE PROFESSEUR EST UN GOORDJIGENE
    TOUT SIMPLEMENT.

  • Faye

    Mariama

    • Bourbajolof

      Où, donc, est la bévue ?
      Quel mal y a -t-il, à s’intéresser à l’avis des principaux concernés ?
      Où est l’infraction pédagogique ?
      Quelle place à la curiosité…intellectuelle, dans l’école ?
      C’est clair : l’obscurantisme a gagné. Et c’est très grave pour l’école, où le maître mot devait être ( comme à l’Université CA Diop) « la LUMIÈRE est ma loi ».
      Les pommes pourries pourrissent les autres. Et ne comptons pas sur les politiques.

      • Djibson

        D’accord avec toi. Dans ce pays on s’interdit de PENSER et de SE POSER DES QUESTIONS.

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