Entre Karim Wade et Badio Camara, qui rira le dernier…! ?

Le top de départ pour la campagne électorale en perspective de 2019 a été sifflé lundi dernier. Mais déjà, ça chauffe au Sénégal. Avec Karim Wade qui tire sur tout ce qui bouge et au Palais de justice et au Palais de la République.
Le «candidat du Pds et du peuple », rayé de la liste électorale, est sur le qui-vive. A 24 heures de l’examen de son pourvoi en cassation, Wade-fils dit ne rien attendre de Badio Camara, Premier président de la Cour suprême, «nommé par Macky Sall ».
Au Sénégal traditionnel, on aurait conseillé à Badio Camara et dans une moindre mesure au président Macky Sall, d’aller se baigner en mer pour conjurer le sort au regard des attaques chirurgicales subies de Wade-fils.
Morceaux choisis: «Badio Camara est à la tête d’un petit clan de magistrats aux ordres» ; «Je n’accepte pas qu’un seul de mes droits soit violé et piétiné par Macky Sall et son clan de juges aux ordres» ; « Badio Camara au cœur du dispositif mis en place par Macky Sall pour instrumentaliser la justice contre ses opposants politiques»; «Badio Camara est l’un des principaux exécutants du complot politico-judiciaire dont je suis victime depuis 6 ans», «Badio Camara a participé récemment à plusieurs réunions nocturnes au Palais de la République, tenues par Macky Sall» ; «Badio Camara n’est pas qualifié pour organiser le procès juste et équitable» ; «la complicité de Badio Camara avec Macky Sall est manifeste…»
Vu ces violentes attaques, Karim Wade ne risque-t-il pas d’être attrait à nouveau devant les juridictions sénégalaises pour offense au chef de l’Etat ou outrage à magistrat ? Yalla rek kham…
Pendant ce temps, la coalition du président Macky Sall, Bby, sourde aux bruits de ces bombes sur Dakar, excelle « dans l’action » et prend le large. Elle se pavane allègrement, déroule et fixe ses repères dans le landernau politique.
A preuve, le camp présidentiel lance officiellement, dans une tranquillité d’esprit, la campagne de parrainage du candidat Macky Sall, ce mercredi 29 août 2018 au Cicad.
Occasion certainement pour le président sortant, qui aurait «perdu un peu de sa superbe» par rapport à son élan de 2012, selon Emmanuel Des fourneaux, de requinquer ses troupes, de les unir au tour de l’essentiel, loin des querelles intestines.
Mais au juste, entre Karim et Badio qui rira le dernier ? Qui prendra sa revanche…?
A vos marques. Les jeux sont ouverts !
notre pays est en ruine à cause de ces politiciens. La question que je me pause aujourd’hui à qui aurions nous confiance ? C’est l’argent du contribuable que l’on utilise à des fin personnel.c’est désolant et décevant. Alors que des enfants et des femmes souffrent dans le fin fond du Sénégal à cause de la famine. Et personne ne les viennent en aide, sauf que si elle font partis d’un parti politique. S’il vous plaît M. Le politicien ne fait pas reculer notre Sénégal car nous voulons avancer et on en mare de vos promesses inutiles.
Désolé karim mais ton sort est déjà scellé depuis belle lurette
J’ajouterai qu’au moment ou nous peuple du SENEGAL nous ayons le temps de polemique d’autre pays Africans sont entrer de ce developer rapidement.Arretons la comedie politicienne.Au meme moment ce pouvoir en place est entrer de ruiner nos fonciers et nos fonds.Senegalais reveillez vous avant que sa soit tard.Merci de retenir que la plupart des internautes sont payer par des politiciens.
Karim lui meme il sait qu »il est raye si c’est a cause de cela qu’il expose ce qu »il est vulgaire et mal eduque
Qu’il s’attele a payer d »abord
Ceux qui crient et accusent la france voila quelqu’un qui 30 comptes a monaco
Donc karim pilleur degage
Après toute cette comédie on parlera demain de victoire d’un talibe
Le droit seul aura le dernier mot.à bas l intox
Alors là tu es dans la merde mon gars….
Karim n’aura pas gain de cause c’est sûr
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