Revivez Plateau spécial : Décès et cas communautaires rendent le covid-19 plus affolant…

Le coronavirus affole plus d’un Sénégalais averti. Trois morts en moins de 72 heures positionnent le curseur macabre à 06 décès, au jour d’aujourd’hui.

Et les cas communautaires, redoutables du reste, en arrière-plan, risquent de perturber aux entournures, le plan des autorités médicales plus que sur le qui-vive.

Et tout cela se tient dans un contexte particulier de peur panique, de division à propos de l’aide alimentaire, mais aussi de l’obligation du port du masque. Avec des Sénégalais qui dérogent encore à la règle par indiscipline, piétinant gestes barrières et couvre-feu.

Ce mercredi 22 avril, le Sénégal a enregistré 442 cas déclarés positifs dont 253 guéris, 06 décès, 01 évacué et 182 sous traitement.

Ngoné Diop Niasse et Cheikh Tidiane Kandé,  et leurs invités, Mouhamadou Lamine  Massaly et Nango Seck, qui ont du pain sur ce plateau, tenteront d’éplucher ces patates chaudes…

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1 COMMENTAIRE
  • sentinelle

    Ce qui est entrain de se passer au Sénégal me rappelle une épisode du dessin animé « Bouba et Frisquette » où le petit ourson croyait que c’étaient ses grognements assourdissants qui apeuraient la meute menaçante de loups, alors qu’en réalité, c’était sa mère rentrée inopinément de la chasse et postée derrière lui à son insu, qui faisait fuir les loups par son imposant gabarit et ses grognements autrement plus assourdissants.
    Les autorité étatiques et sanitaires croient dure comme fer que ce sont leurs mesures « anti corona » qui ont empêché la propagation du virus alors qu’en réalité, c’est la nature du virus qui nous a épargné. En fait si notre écosystème et/ou notre système immunitaire permettait une propagation ultra rapide du virus telle qu’observée en Chine et en Occident, alors qui oserait croire une seconde que ces mesures étatiques nous auraient sauvés ?
    Nos biologistes doivent faire leur travail, étudier en détail ce covid-19, les publier, et édicter aux autorités des mesures moins ravageuses pour l’économie du pays. Car j’en suis sûre, s’il ne s’agissait que de mesures drastiques prises à temps (ce qui n’est pas du tout le cas du Sénégal), alors des pays comme le Danmark, le Portugal, ou la Grèce cités en exemples, n’auraient pas chacun, des centaines de morts et plusieurs milliers de contaminés, là où nous n’avons que moins de 500 contaminés et 6 morts dans une période de presque 2 mois après les premiers cas.
    Cet état d’urgence et son couvre-feu se justifiait que dans les 3 à 4 premières semaines après les premier cas, mais maintenant des mesures d’hygiène imposés aux populations suffisent largement à endiguer cet épidémie dans la plus part des pays de l’Afrique, d’autant plus que des remèdes à la fois pharmaceutiques et traditionnels ont fait leurs preuves.

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