Dictature rampante à la CCR: Eléménat de réponse de Bassirou Ndiaye (Contribution)

Mamadou Lamine GUEYE, un illustre inconnu du bataillon s’enlise dans une incohérence qui se le dispute à une impertinence à coups de citations dont l’auteur n’a aucune maîtrise du sens.

« Le chaos est le nom que l’on donne à tout ce qui produit la confusion dans notre esprit ». Cette saillie de Georges SANTAYANA qu’il plait à illustrer son pauvre texte lui colle comme un gant à la main. Une maxime bien de chez nous dit d’ailleurs la même chose en ces termes : « le diable ne dit pas la vérité mais peut semer le trouble dans les esprits » «  Saytané wakhoul deugeu wayé yakhnam khell ».

Il parle de dictateur !!

Heureusement qu’il est connu que tout ce qui est excessif est insignifiant.

Passons et mettons un focus sur ces attaques d’aigris d’un cadre frustré.

Mamadou Lamine GUEYE est parmi ces taupes qui font leur job de déstabilisation du camp présidentiel. Heureusement qu’il n’en ni l’épaisseur ni l’envergure. Nous sommes à quelques jours de l’élection présidentielle du 24 février 2019 et des personnes insignifiantes essaient de distraire avec les armes de la calomnie facile, des accusions non étayées et des insultes de fanfarons bravaches et matamores.

L’heure est à la synergie des forces et le mandat qui défonce vos tympans est donné à Abdoulaye Diouf SARR qui a su donné un nouvel élan à la CCR, longtemps en léthargie.

Comment peut-on s’attaquer à l’un des rouages de la machine de la mouvance présidentielle pour sortir victorieux au soir du 24 février 2019. Ayez, alors le courage de vous attaquer au Président

Macky SALL qui a fait un casting pour adouber l’efficacité, l’esprit de gagnant et l’image d’un camp qui force le respect chez l’opinion.

Que voulez-vous§ Qu’on s’attarde sur une structuration pléthorique et complexe ou sur des débats infinis et rédhibitoires.

Les masques, à la longue, collent à la peau. L’hypocrisie finit par être de bonne foi. Mamadou Lamine GUEYE (je veux dire celui qui se cache derrière tes écris), le train du 24 février passe à grande vitesse (tel un T.E.R) et n’a pas le temps de transporter des bagages chargées d’insultes et de politiques puériles et futiles. Milan KUNDERA disais : «  le plus grand piège de la haine, c’est qu’elle nous rend aveugle et nous enlace trop étroitement a l’adversaire ». Abdoulaye Diouf SARR ne saurait être l’adversaire de quelqu’un qui bon an mal an se réclame du camp présidentiel.

Mamadou Lamine GUEYE aborde dans son verbiage logorrhéique de ce qu’il appelle avec une impertinence indigne d’un cadre républicain le Congrès sans débat. Soit un peu plus rigoureux dans les sémantiques en respectant le parallélisme des formes au moins. Il ne saurait s’agir ici de Congrès mais certainement de la Convention d’investiture du président Macky SALL par les cadres de la coalition BBY au cours de laquelle le coordonnateur de la CCR nous a livré un discours-bilan de haute facture, apprécié par tous les cadres présents.

La CCR a surtout comme mission la production d’idées et de stratégies politiques et devrait s’éloigner des batailles de chiffonniers et politiciens. Nous ne vous rejoindrons jamais sur ce terrain creux de caniveaux. Et dans le contexte actuel, nous avons plus besoin de cadres porteurs de projets politiques et représentatifs à la base et non de cadres aériens et tartarin de la plume. Les raccourcis et autres préjugés cloisonnent notre marche Malheureusement, il est plus facile de désagréger un atome qu’un préjugé forgé par des gueux qui se définissent comme cadres.

Abdoulaye Diouf SARR n’a pas été choisi par une élection pour autant que je sache mais pour sa compétence et sa double légitimité politique et historique. Il a fini de mettre d’accord quasiment toutes les composantes du parti, de BBY, de la grande majorité présidentielle ainsi que de larges franges de la population Sénégalaise. Et dès sa nomination par le président Macky Sall, et fidèle à sa réputation d’homme de résultats et de terrain, il a mis la main à la patte pour redynamiser, massifier la CCR qui était dans un état de torpeur indicible, indigne d’une structure de cadres d’un parti au pouvoir.

Et pourtant, ces contempteurs d’un type niveau étaient là amorphes, aphones et complices sans jamais oser lever le plus petit doigt ou se prononcer. Et aujourd’hui que la CCR, sous l’impulsion de son nouveau coordonnateur est entrain de redorer son blason ternie par la léthargie chronique qui l’ankylosait en devenant une structure proactive, productrice d’idées nouvelles et de stratégies politiques qu’on voit, tels des diables sortis de leur boite de pandore de pseudos cadres qui tentent d’annihiler l’espoir retrouvé.

Son passage au COUD est encore applaudi par nombre d’étudiants. Ministre, il a porté l’importante réforme de l’acte 3 de la décentralisation et son accompagnement aux collectivités locales est chanté par les maires. Ces actions au Ministère de la Santé et de l’Action Sociale ont culminé avec l’introduction dans le PEV du vaccin contre le cancer du col de l’utérus après l’achèvement de chantiers qui étaient en souffrance à son arrivée dans ce ministère stratégique. Sur le plan politique, il s’est imposé d’exigence dans une capitale ou l’opposition était forte. Son discours, ses approches se distinguent par leur étoffe mais encadrés par la retenue et la repartie. C’est un atout incontestable du président Macky SALL.

Nous félicitons encore une fois le chef de l’Etat pour la confiance renouvelée à Monsieur Abdoulaye Diouf SARR. A n’en point douter, il a mis l’homme qu’il faut à la place qu’il faut. Et l’espoir est permis au regard des premiers actes posés. Et sous sa houlette, la CCR se massifie et se tonifie avec l’arrivée en grand nombre de jeunes cadres qui participent de façon active et dynamique aux réunions des pôles mises en place pour optimiser le fonctionnement de la structure afin d’en faire le fer de lance du parti pour une victoire écrasante du Président Macky SALL au soir du 24 février 2019.

* Cadre APR,
Parcelles Assainies