Dette cachée – Alioune Tine: « Les membres du Gouvernement de Macky Sall, notamment Pape Malick Ndour devraient … »

La révélation d’une dette cachée de 7 milliards de dollars (environ 4 250 milliards FCFA) sous le régime de Macky Sall continue de susciter des réactions. Alioune Tine, fondateur du Think Tank Afrikajom Center, a interpellé sur X (ex-Twitter) les anciens ministres du gouvernement, exigeant des explications sur cette gestion opaque des finances publiques.
Dans son post, Alioune Tine pointe directement Pape Malick Ndour, ancien ministre de la Jeunesse sous Macky Sall, et d’autres membres du gouvernement précédent, les appelant à clarifier l’utilisation de cette dette :
« Les membres du Gouvernement de Macky Sall, notamment Pape Malick Ndour qui maîtrise ces questions, devraient nous dire ce qu’on a fait de la dette cachée de plus de 4 000 milliards. Nous avons besoin d’explications à ce sujet. »
Son message rejoint les nombreuses voix qui s’élèvent depuis que le Fonds Monétaire International (FMI) a confirmé les conclusions de la Cour des comptes sénégalaise sur l’existence d’une dette sous-estimée entre 2019 et 2024.
L’appel d’Alioune Tine s’inscrit dans un contexte de fortes demandes de redevabilité envers l’ancienne administration. Plusieurs personnalités, dont l’ancien Premier ministre Abdoul Mbaye, ont déjà exigé des sanctions et la récupération des fonds détournés.
A Tine vous avez perdu toute crédibilité de même que ton compère de Amnesty Sénégal S Gassama et sachez que vous n’avez plus droit à la parole et c’est dommage que le ridicule ne tue plus dans ce pays!!Vraiment pathétique
POSEZ vous la question de savoir pourquoi AMADOU BA et ABDOULAYE DAOUDA DIALLO n’osent pas sortir pour s’expliquer sur ce problème qui les concerne directement .Qu’est ce qui explique le mutisme de ces deux pontes de la république .PAPE MALICK NDOUR n’a jamais été ministre des finances .AMADOU BA et ABDOULAYE DAOUDA DIALLO sont directement impliqués
Senego pourquoi vous avez supprimé mon commentaire
Premier personne kignou wara woo chieckh Diba aminta Touré extra
Mr Tine vous êtes dépassé par les évènements ou vous feignez de ne rien comprendre. Comment pouvez-vous nous recommander Pape Malick Ndour alors que Amadou Ba Jamm ak Ndiarign, Abdoulaye Daouda Diallo, Amadou Hott tous anciens ministres des Finances, sont encore vivants. Vous devez faire une conférence de presse et exiger ces messieurs des explications sur tout le rapport de la cour des comptes. L’heure est grave
Le FMI fait des gesticulations pour mettre le Sénégal sous ajustement structurelle Il n’a point de dette cachée
Merci Américains tu as bien répondu a Tine pastef
Il parle de pape malick ndour ministre de la jeunesse la on parle de dette cest amadou ba
Daouda diallo et macky
Il y’a des gens qui se disent intellectuels avec des discours à la con mais un jour ils vont devoir répondre devant le tout puissant avec dès mensonges
Le FMI apporte son soutien à des pays africains
Le Sénégal sera bientôt placé sous ajustement structurel par le FMI. Après la publication du rapport de la Cour des Comptes falsifié par Ousmane Sonko, le Fonds Monétaire International a effectué une mission à Dakar. A l’issue de celle-ci, Edward Gemayel, le chef de mission, a achevé le piège tendu par le FMI au gouvernement du Sénégal. En effet, depuis le début de cette affaire, le FMI a un seul objectif : pousser le Sénégal a supprimer les subventions sur l’énergie, les hydrocarbures et les denrées alimentaires pour appliquer la vérité des prix au grand dam des citoyens sénégalais.
Ousmane Sonko est tombé dans le piège par inexpérience et par volonté de nuire coûte que coûte à l’ancien régime même s’il devait passer par abaisser la note souveraine du pays et fragiliser sa signature.
Il a en partie réussi, car après un an de gouvernance du duo Diomaye-Sonko, pas un seul projet d’envergure n’a été lancé. Les entreprises ferment et le pouvoir d’achat des ménages a littéralement fondu.
Ousmane Sonko, en faisant falsifier le rapport de la Cour des Comptes pour aggraver le déficit et la dette, avait deux objectifs : dans le court terme salir le régime de Macky Sall pour des gains électoraux, et ensuite, sur le long terme, s’attirer les bonnes grâces du FMI là où l’ancien régime se battait avec l’organisme pour maintenir les subventions, dispositif important d’une politique sociale ambitieuse.
Sonko perd sur les deux tableaux
Après sa conférence de presse de septembre durant laquelle il annonçait un prétendu maquillage des comptes publics, deux proches, l’un au ministère des Finances, l’autre issu de la diaspora et très introduit dans la finance internationale, s’en étaient ouverts à lui, inquiets des répercussions à venir sur l’économie nationale. La réponse de Sonko était qu’il fallait user des mêmes recettes du populisme et salir le régime sortant pour remporter les législatives, car les sondages montraient une rechute des intentions de vote pour le Pastef après la large victoire de mars.
Au lendemain de la baisse de la note du Sénégal par l’agence Moody’s, Ousmane Sonko, dans une audience privée au Petit palais, avait précisé qu’il était bien conscient de son jeu et qu’il allait gagner sur deux tableaux. Au sujet de la perte de confiance des marchés, il soutenait que ce qu’il présentait comme un exercice de transparence allait certes exploser les taux d’endettement du Sénégal, après la dégradation de sa note souveraine, et que notre pays allait emprunter plus cher et à des délais plus courts. Mais à terme son gouvernement gagnerait la confiance des bailleurs, soutenait-il. De son point de vue biaisé, le FMI n’aurait d’autre choix que de reprendre en urgence la coopération avec le Sénégal, en contrepartie de la levée des subventions réclamées depuis 2005 par cette institution et toujours refusée par les autorités sénégalaises.
L’échec de cette tactique du Premier ministre est cuisant. Le Sénégal continue d’emprunter à des taux très élevés et sur des délais très courts. Ce 25 mars, Dakar a encore emprunté 250 milliards sur le marché de l’Uemoa. Le service de la dette va crescendo alors que le risque d’une croissance faible est agitée, du fait de l’arrêt de tous les chantiers dans le pays, du matraquage fiscal et de la peur suscitée chez les hommes d’affaires par les emprisonnements massifs.
Pire, le FMI n’a pas lâché du lest et continue de geler sa coopération avec le Sénégal, sous réserve que le gouvernement prouve qu’il y a bien eu manipulation et maquillage et qu’il signe le mémorandum officiel de l’arrêt des subventions.
D’ici la fin de l’année, le FMI ne prêtera pas au Sénégal l’argent promis et l’accord signé sous Macky Sall ne sera pas honoré. L’organisme va aussi exiger une loi de finance rectificative pour mieux serrer la vis sur les dépenses sociales. Le Sénégal sera obligé de supprimer les subventions et voir les prix de l’électricité, du carburant, du gaz butane et des denrées de première nécessité monter en flèche.
Pire, l’ajustement structurel annoncé par le ministre secrétaire général du gouvernement Aminou Lo sera officialisé, et le « rebasing salarial » promis par Sonko lors de sa DPG, et qui signifie une baisse des salaires, sera exécuté.
Le FMI a poussé Ousmane Sonko a tomber dans son piège
Le FMI sait très bien que la dette supposée « cachée » qui s’élève à environ 5000 milliards est en réalité bien traçable dans les livres du secteur parapublic, comme au Port autonome de Dakar, à l’AIBD, à Air Sénégal, ou à la Senelec, entre autres…Elle s’appelle la dette du secteur parapublic différente de celle principale qui relève directement du Trésor public sénégalais. Mais l’organisme profite du jeu macabre du Premier ministre pour mettre enfin la pression sur le régime et imposer son agenda et ses conditions draconiennes.
C’est la raison pour laquelle des voix autorisées du régime comme le député Guy Marius Sagna et le ministre Cheikh Oumar Diagne émettent des critiques acerbes sur le FMI. En effet, malgré les éléments de langage distillés dans les médias et sur les réseaux sociaux, les tenants du pouvoir à Dakar sont conscients de s’être sabordés en se livrant pieds et poings liés au FMI.
Malheureusement, la seule victime des errements et de l’incompétence de Sonko sera le peuple sénégalais dans toutes ses composantes. Clairement, sur le plan économique et social, des temps difficiles s’annoncent pour ce pays.
Tu es un maudit un avariste un vrai menteur
Quel pays es sorti du gouteu avec le FMI ou la banque mondiale… ?
Mr Tine Les explications c’est plutôt Cheikh Dina ministre des Finances actuel qui était le directeur de la Programmation Budgétaire qui devrait les donner
Si vous voulez des explications allez demander à El Amine Lô qui était directeur de la BCAO
Le FMI n’a fait que reprendre les mensonges de votre Prince qui veut à tout prix discréditer Macky et le présenter comme un faussaire aux yeux de l’opinion jusqu se tirer une balle dans le pieds et empêtrer le Senegal dans des difficultés financières
Dites à vos protégés d’arrêter de pleurnicher comme de petits gamins et proposer des solutions
Nous comprenons votre indignation sélective et calculée car il faut se faire entendre et le temps
Nous savons que Pape Malick Ndour dérange les souteneurs masqués du projet fictif
Kou wakh fegne
danguéna rouss rèkk, amayolèn lounguèn wakh. Vous dervez vous taire et, comme vous l’a si bien dit Sonko, aller raser les murs….
Le monde entier a su depuis longtemps que Sénégal a été dirigé par de la pourriture ces dernières années. La communauté internationale connait la fortune cachée de Macky, donc ils savent que c’est un « bolle pouydé » de rien du tout. Le régime actuel n’a pas besoin de le salir après l’avoir combattu et battu de la plus belle des manières.
ca montre que les senegalais ont vomi ces pourritures et ordures de pastef tout le monde sait que les fond monetaires ment sur cette dette comment peut on cacher plus de 4000 milliard et puis on s en fou
VOUS ETES MARRANTS VOUS C’EST PLUTÔT L’ANCIEN RÉGIME QUI RACONTE DES CONNERIES OUI
Macky le sale tueur pilleur comploteur et sa bande de malfrats doivent être traqués et sévèrement punis
Nafic tine vas t faire foutre un vrai domeram gemo tous
TONTON TINE OU DOMEBAYE, EN TANT QUE SOCIÉTÉ CIVILE C’EST À LA JUSTICE QUE DEVEZ EXIGER QU’ELLE CONVOQUE IMMÉDIATEMENT LES MINISTRES DE L’ANCIEN REGIME.
MAIS PENSEZ VOUS QU’UN ANCIEN MINISTRE QUELQUE SOIT SA CONNAISSANCE VA T’IL ACCEPTER D’ALLER À LA TÉLÉ EXPLIQUÉ COMMENT ON A VOLÉ L’ARGENT, COMMENT ON A CACHÉ LA VÉRITÉ À LA POPULATION ??? NON .
C’EST LA JUSTICE QUI NE DOIT PLUS ATTENDRE, OU NOUS POPULATION DESCENDONS DANS LA RUE ET EXIGEONS QUE LA JUSTICE ACCELERE LA CONVOCATION DES VOLEURS.
C’EST NOUS POPULATION QUI VIVONS LA MISERE, MAIS LES AUTRES SONT DANS LEURS BUREAUX CLIMATISÉS, PERVOIVENT LEURS SALAIRES, NE SAVENT PAS LA CHERTÉ DE LA VIE, NI LOYER