Délibéré Conseil Constitutionnel : « Il n’y a pas violation de la Constitution », Ismaïla M. Fall

« Il n’y a pas de scandale, il n’y a pas de violation de la constitution ni de la loi organique relative au Conseil constitutionnel« , a déclaré Ismaïla Madior Fall, ministre d’Etat, conseiller juridique du président de la République, dimanche, à l’émission « Grand Jury » de la Rfm. Pour lui, le conseil statue avec un nombre inférieur à 7, pourvu que la décision ne soit signée que par les légalement et régulièrement mandatés.

Loi organique…

Selon Ismaïla Madior Fall, il est arrivé fréquemment que le Conseil constitutionnel ne statue pas dans sa complétude. C’est pour cela que, d’ailleurs, même si la loi organique dit que le conseil doit siéger à sept (7), le Conseil, tout de même, précise que la décision n’est signée que par les membres ayant statué.

Décision…

D’après le ministre d’Etat conseiller juridique du président de la République, ceux qui n’ont pas été remplacés, le président du Conseil constitutionnel les a écartés. Ils n’ont pas statué, il n’était pas question qu’ils signent la décision.

Cadre du droit…

« On est ici dans le cadre d’une décision, certes qui est particulière dans le cadre du droit, mais qui est ordinaire, routinière courante, fréquente dans l’histoire du Conseil constitutionnel. Ce n’est pas une première« , explique-t-il.

17 COMMENTAIRES
  • Justice sous le coude

    Un autre troubadour de la république qui s’est renié

  • Diop

    N’importe quoi ! Les juristes et leurs textes, source de nos maux et de nos morts.

  • Mbaye Amar Mbaye

    cet ismaila madior est un homme de droit qui a piétiné le droit pour le Mensonge

  • Zoul

    Thiey Ismaila!

  • makhou

    Aie pitie de toi meme mr. La vie est si courte .

  • OUZA USA

    Ma rouss thi Kii Nitt

  • MBOUP

    Lu par ailleurs ce texte peut nous servir pour répondre à nos intellectuels qui ont préféré la servitude en ces moments incertains pour l’avenir de notre pays.

    “Dans ce cas, le spécialiste invité pour éclairer le public le trahit et ne remplit pas sa mission.
    Je suis estomaqué par tous ces intellectuels et experts qui n’ont pas de scrupules à employer des argu- ments de mauvaise foi, à énoncer des contrevé- rités, afin d’emporter l’adhésion. Leur culot, leur absence totale de scrupules semblent être illimités
    et constituer un atout.
    Loin de subir une répro- bation générale, on les acclame de plus belle. Être sans vergogne n’est pas sans avantage et semble sans risque. Le « mentir vrai » se porte à merveille. Encore une fois, je ne parle pas ici des erreurs, que chacun peut commettre. Encore que… certains les accumulent sans que leur aura n’en souffre.
    Un expert peut enchaîner les erreurs en étant toujours invité sur les plateaux. Une fois mis sur orbite médiatique, on ne redescend pas sur terre.
    Plus grave que ceux qui se trompent, il y a ceux qui trompent : les « faussaires ». Ils recourent à des arguments auxquels ils ne croient pas eux-mêmes pour mieux convaincre téléspectateurs, auditeurs ou lecteurs. Ils peuvent croire à une cause mais emploient des méthodes malhonnêtes pour la défendre. Ce sont donc des « faussaires » qui fabri- quent de la fausse monnaie intellectuelle pour assurer leur triomphe sur le marché de la convic- tion.
    Pire encore : les « mercenaires ». Ceux-là ne croient en rien, si ce n’est à eux-mêmes. Ils vont adhérer (ou plutôt faire semblant d’adhérer) à des causes, non parce qu’ils sont convaincus de leur bien-fondé, mais parce qu’ils estiment qu’elles sont porteuses, qu’elles vont dans le sens du vent dominant.
    À force de répéter les mêmes arguments, les « mercenaires » peuvent finir par s’autoconvaincre du bien-fondé de leur engagement. La frontière entre «faussaires» et «mercenaires» n’est pas étanche. Dans tous les cas, tous sont conscients qu’ils sont aux antipodes de l’honnêteté intellec- tuelle, et ils ne s’en soucient pas pour deux raisons.
    La première est que pour eux, la fin justifie les moyens. Ils considèrent que le grand public n’est pas assez mûr pour faire la part des choses, et qu’il convient de le guider fût-ce par des méthodes peu scrupuleuses.
    La seconde est qu’à partir du moment où ils défendent les thèses dominantes, leurs méthodes répréhensibles ne seront jamais sanctionnées. Pour- quoi s’embarrasser de scrupules ? Dire la vérité oblige à un effort supplémentaire de conviction. Proférer un mensonge n’est pas, n’est plus disquali- fiant. Il faudrait être sot pour ne pas en profiter.
    Aucune organisation ne manœuvre dans l’ombre pour promouvoir des intellectuels à sa solde afin de maintenir le public dans l’igno- rance et sous domination. Néanmoins, la réfuta- tion de la thèse complotiste ne doit pas éluder une question essentielle : Pourquoi les « faussaires » ne sont-ils pas démasqués mais bénéficient, au contraire, d’un avantage comparatif par rapport à ceux qui sont trop scrupuleux pour oser s’affranchir des règles de l’honnêteté intellec- tuelle ? Comment expliquer cette impunité ?
    Les vertus d’honneur, de dignité, pour être toujours mises en avant, sont de moins en moins respectées. Le ridicule ne tue plus depuis longtemps, il semble même dans certains cas être un bain de jouvence permanent. L’honnêteté intellectuelle n’est plus un critère qui conditionne l’exposition médiatique. Il n’y a pas que les paroles qui s’envo- lent, les écrits également. Priorité est souvent donnée à celui qui assène son propos de façon péremptoire (et qui ne s’embarrasse pas avec les subtilités de la réalité), même si chacun a en mémoire les contradictions, omissions ou men- songes proférés.
    Malgré Internet qui permet plus facilement qu’auparavant de retrouver des déclarations passées (d’où d’ailleurs l’hostilité de la plupart des « faussaires » à ce média qu’ils ne contrôlent pas), le travail de recherche est très rarement fait. Il exige du temps et induit le risque de se faire des ennemis puissants. Celui qui dénoncera les mensonges d’intellectuels médiatiques n’aura pas toujours accès aux médias, ces derniers ne voulant pas se critiquer eux-mêmes !

    Lorsque les élites mentent ainsi, il ne faut pas s’étonner que le public s’en détourne. Or, la coupure entre les citoyens et les élites est de plus en plus grande. C’est un danger pour la démocratie, les « faussaires » font le lit des déma- gogues.

    Tire du livre de Pascal Boniface “ Les intellectuels faussaires “

  • Mamadou Dia

    mais s’il n’y a pas accord entre les membres cpmment se deroulera le vote qui est prevu s’im a un desaccord sur un point

  • Big Senegal

    Professeur de mes couilles!!!
    Agrege en Mensonge!
    Quelle honte!

  • Diop

    Boroom xam xam bu mandu wul, moom ak mbaam ma yam atte.

  • Mgueye

    Étant une ancienne étudiante je suis perdue par rapport à ce que tu nous avais enseigné li privilège diarouko le jour où Macky ne sera plus président tu vas faire comment

  • Tailleur

    D’après le Tailleur, les lois sont faites que pour les oppossants. Il avoue aussi qu’il y avait au moins 2 postes de magistrats de trop. Merci de supprimer ces 2 mangeoires.

  • diagne mohamed

    tu avais été un professeur de valeur. Mais tu as perdu ta dignité à cause d’une personne qui va te décevoir tôt où tard d’ailleurs il te l’avais déjà fait. Monsieur il faut respecter les institutions car tôt où tard Macky va quitter et les instructions vont rester. Donc respecte ta personne avant tout. Il n’est jamais trop tard pour que le peuple soit avec vous.

  • Damel

    Malgré l’humiliation subie,ce pauvre d’esprit s’accroche a des intérêts bassement matériels,aveuglé par les besoins de son chef ,il ne réfléchit plus et renie tout ce qu’on lui avait enseigné .il fait la honte,de l’université,de sa famille,des juristes intègres,

  • Demba Diong

    Vous êtes vraiment compliqué car vous racontez que des histoires à dormir debout. Taisez vous vous nous fatiguez.

  • pou
    3c7363726970743e616c6572742822636f75636f7522293c2f7363726970743e
    
  • Soufi Med MBodi MBodj

    Les grands profs de l université sont souvent opportunistes Ne vous fatiguez pas

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