Déclaration des entreprises de presse: Mise en place de la commission d’examen et de validation

Déclaration des entreprises de presse: Mise en place de la commission d’examen et de validation

Une commission d’examen et de validation de la Déclaration des entreprises de presse du Sénégal a été crée par arrêté ce 4 octobre au sein du ministère de la communication, de la télécommunication et du numérique.

En effet, le Ministère chargé de la Communication a en août 2024, pris l’arrêté n°017412 du 29 juillet 2024 pour la mise en place d’une plateforme numérique dédiée à la déclaration et à l’enregistrement des entreprises de presse pour simplifier et optimiser ce processus.

Cette plateforme vise à faciliter la dématérialisation des procédures administratives relatives aux médias. A l’issue de ce processus toute entreprise de médias ne satisfaisant pas à cette exigence, ne pourra exercer son activité sur le territoire sénégalais.

2 COMMENTAIRES
  • Damel X

    C’est une très belle et intelligente réalisation monsieur le ministre.merci.
    Géant coup de balai salutaire qui laissera des traces dans les annales de la presse sénégalaise.
    Vous savez ces gens là tendent leur micro à des soi-disant opposants qui ne peuvent même pas aider à la propreté ou à la sécurité de leur quartier et qui ne sont mus que par leurs intérêts personnels.genre mafia quoi, sans idéologie rie quoi ,fossoyeurs de la nation etc…

  • PATRIOTE

    Sonko à l’origine de la convocation de Yerim Seck et de Bougane : le parquet se rebelle et classe les dossiers sans suite
    ARTICLE AFRIQUECONFIDENTIELLE

    Ceux qui disent ironiquement que Ousmane Sonko est à la fois Premier ministre, Procureur de la République, ministre de la Justice et juge d’instruction ne croient pas si bien dire.

    Les convocations de Bougane Gueye Dani et de Yerim Seck n’ont pas encore révélé tous leurs secrets. Nous venons d’apprendre que c’est le Premier ministre Ousmane Sonko en personne qui, après avoir suivi les interventions de Bougane Gueye et de Yerim Seck, aurait directement appelé le nouveau chef de la Division de Cybersécurité, le Commissaire de Police Pape Mamadou Djidiack Faye, pour lui demander de convoquer et d’interroger Yerim Seck et le leader de Gueum Sa Bopp.

    Ousmane Sonko s’est arrangé pour obtenir les numéros directs des patrons de la police et de la gendarmerie. Il passe par-dessus la tête du ministre de l’Intérieur et du haut commandant de la gendarmerie pour donner des instructions à leurs subordonnés.

    C’est ainsi que le commissaire Mamadou Djidiack Faye, sans en informer ses supérieurs, a instruit les dossiers. Voilà pourquoi il n’y a jamais eu d’auto-saisine du parquet, ni de plainte du Premier ministre, encore moins du ministre de la Justice. L’ordre verbal est venu directement du chef du gouvernement. D’ailleurs, les enquêteurs ont fait comprendre aux avocats qu’il n’y avait pas eu de plainte. Ils ont reçu un ordre.

    Et naturellement, après leur interrogatoire, le dernier mot revenait au Procureur de la République pour décider de leur placement sous mandat de dépôt ou du classement sans suite des dossiers. Ne s’étant pas auto-saisi, le procureur s’est tout simplement dissocié de ces affaires en classant les dossiers sans suite. Il a ainsi montré toute son indépendance face à ces décisions politiques qui risquaient d’entacher sa réputation. Le ministre de la Justice a accepté de suivre le parquet en s’opposant aux manœuvres malveillantes de Sonko.

    Au terme des interrogatoires, les procès-verbaux ont été envoyés directement au ministre Ousmane Diagne, au Procureur de la République Monsieur Ndoye, et à Ousmane Sonko. Finalement, le procureur Monsieur Ndoye a pris la responsabilité de relaxer les prévenus, contre la volonté d’Ousmane Sonko, désavoué.

    Au niveau de l’aéroport également, nous avons appris que les ordres d’interdiction de sortie du territoire appliqués à certaines personnes relèvent d’une instruction de Ousmane Sonko, qui force ainsi la main au général Jean Baptiste Tine. Celui-ci obéit aux ordres politiques de Sonko comme n’importe quel militant de Pastef.

    Selon des sources bien informées, le général Tine est mis mal à l’aise par Sonko depuis la crise déclenchée avec l’Église, mais aussi à cause de ses décisions mal réfléchies sur le processus électoral, sur le dialogue avec l’opposition et sur les interdictions de sortie.

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