Coopération militaire sénégalo-gambienne: Une éventuelle mise en oeuvre du droit de poursuite

Les deux pays, le Sénégal et la Gambie, songeraient à une possible mise en oeuvre commune du droit de poursuite. Pour le Chef d’Etat Major Général des Armées sénégalais, le général, Birame Diop, cette mesure permettrait une plus grande  sécurisation des frontières.

Possible mise en oeuvre commune du droit de poursuite

C’est à Farafegni hier mardi,  en présence de son homologue gambien, que le CEMGA général Diop  a annoncé une telle possibilité. En effet, lors de sa visite à la  zone numéro 3, qui désigne la région militaire située au centre du Sénégal, le général dira d’après l’APS : « Ce droit de poursuite, mis en œuvre, permettra une meilleure sécurisation de nos frontières ». A côté de cette annonce, les deux généraux ont revu les accords de paix signés entre les deux pays en 2017. Ils ont aussi abordé la question d’une possible formation commune des soldats dans le but de mener ensemble des patrouilles conjointes.

Visite de prospection des travaux de l’Armée

Mais après Faragni, le général Diop s’est rendu en premier temps, à Némanding pour constater l’état d’avancement des travaux de la construction des locaux du 23ème Bataillon de reconnaissance et d’appui (BRA). Ensuite cap sur Toubacouta pour voir les locaux qui abritent un centre d’entrainement tactique.

Présentation de condoléances 

La visite du CEMGA s’est terminée par une triste note. Le général est allé  présenter ses condoléances aux familles des militaires récemment décédés en Casamance, dans des accidents de mine. Il a par la même occasion souhaité prompt rétablissement aux blessés.

1 COMMENTAIRE
  • charles

    TRES BONNE DECISION.

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