Clôture du Dialogue national : L’opposition exige la libération des détenus d’opinion
Le Dialogue national sur le système politique sénégalais s’est achevé ce mercredi. À sa clôture, l’opposition participante a livré une déclaration ferme, portée par la voix de l’ex-ministre Cheikh Tidiane Gadio. Elle y exige notamment la libération sans délai des détenus d’opinion.
Dans sa déclaration, l’opposition a exigé la libération immédiate de toutes les personnes détenues pour délit d’opinion, dénonçant ce qu’elle qualifie de violations des droits et libertés fondamentales. Elle a également fustigé les traitements réservés à d’anciens ministres et personnalités de l’ancien régime, appelant à une décrispation de l’espace politique national.
Cheikh Tidiane Gadio a annoncé la tenue d’un point de presse ce jeudi pour présenter, de manière plus détaillée, la position de l’opposition sur les recommandations issues du dialogue. Il a par ailleurs plaidé pour une réconciliation nationale véritable, fondée sur le respect des institutions, l’indépendance de la justice, et la fin des restrictions arbitraires contre les acteurs politiques et les journalistes.
L’opposition appelle enfin le président de la République à user de tous les leviers à sa disposition pour apaiser le climat politique et garantir la liberté d’expression au Sénégal.
Un repris de justice qui a souilké le nom du Senegal a l’international n’a pas droit au chapitre.
Mr Gadii n’est pas un bon exemple pour la jeunesse senegalaise.
Tous ceux qui s’associent a criminel international perdent leur credibilité.
Mr le President ne reagissait pas aux Delores d’un criminal international, il y va de votre credibilité.
C maintenant qu’ils sortent du bois.Sonko agressé dans sa voiture, séquestré, emprisonné injustement.Où était ce monsieur? Certainement entrain de déguster son mille-feuilles.
Vous seriez crédible si vous aviez tenu le même langage lorsque le président sall s’acharnait sur les membres du pastef
Ça ressemble une chantage et puis çes gens sont des voleurs et mercenaires des voleurs sur les antennes parlaient du n importe quoi jusqu a insulter les institutions donc pas de grace ni libération