Assassinat de Diary Sow : L’ADHA réclame des mesures urgentes
Le meurtre tragique de Diary Sow, une jeune fille de 12 ans, à Malika, dans la banlieue de Dakar, continue de susciter une indignation nationale. L’Action pour les Droits Humains et l’Amitié (ADHA) a réagi avec véhémence, ce vendredi 3 janvier, en exigeant des mesures immédiates et radicales pour faire face à la recrudescence de l’insécurité touchant les groupes les plus vulnérables, notamment les enfants.
Selon l’ADHA, cet acte ignoble souligne une insécurité croissante qui nécessite une réponse ferme de l’État sénégalais. L’organisation a rappelé l’obligation constitutionnelle de protéger la vie et l’intégrité physique de chaque citoyen, conformément à l’article 7 de la Constitution et aux engagements internationaux pris dans le cadre de la Convention relative aux droits de l’enfant (CIDE).
Dans un communiqué diffusé par nos confrères de Sud Quotidien, l’ADHA demande à l’État sénégalais de rendre justice de manière immédiate et exemplaire à la victime, en appliquant les sanctions prévues par le Code pénal. Elle plaide également pour un renforcement des mécanismes de protection des enfants, passant par la mise en place de refuges sécurisés et une collaboration étroite au sein des communautés locales.
L’organisation appelle à une sécurité accrue grâce à une police de proximité plus efficace et des ressources supplémentaires pour les forces de l’ordre. Elle insiste aussi sur l’importance d’adopter des lois plus sévères contre les violences sexuelles et les meurtres d’enfants, tout en renforçant la politique de protection de l’enfance, conformément à l’article 19 de la CIDE. Un appel est également lancé aux acteurs communautaires pour promouvoir des valeurs de respect et de vigilance collective.
Par ailleurs, l’ADHA dénonce ce qu’elle perçoit comme une « inaction persistante » des gouvernements face à la pauvreté, aux inégalités sociales et au chômage, des fléaux qui aggravent l’insécurité. Elle considère cela comme une indifférence structurelle constituant une violation des droits fondamentaux, a-t-on pu lire sur le site de Sud Quotidien.
Alors pourquoi vous n’avez pas demandé aux femmes qui voulaient marcher nues de maintenir leur marche mais habillées.
Pourquoi vous n’avez pas supporté leur démarche.
Ces organisations surfent sur la détresse psychologique des autres.
Cela ne sert à rien d’être réactif en demandant des lois beaucoup plus répressives.
Notre arsenal juridique est très bien outillé.
Notre drame c’est de ne pas faire l’écho de ces lois, de ne pas nous occuper de nos drogués.
Notre société est vraiment malade.
Pauvre petite elle a connu une triste fin.
Cette triste histoire n’a pas encore tout révélé.
Ces parents sont aussi à blâmer.
La laisser sortir à une heure aussi tardive avec son amie.
Prétendre de l’avoir cherché partout et de n’être jamais allés chez son ami pour voir si elle y était.
Peine de mort il ya plus urgent que cela et après les droits de l’hommiste vont encore nous tympaniser