Les débats se poursuivent à la 78e Assemblée générale des Nations unies, à New York. Ce samedi 23 septembre, le Burkina Faso a pris la parole par la voix de son ministre de la Fonction publique, Bassolma Bazié. Pendant 40 minutes, l’envoyé du capitaine Ibrahim Traoré a tenu un discours très offensif, tant sur le fond que sur la forme à la tribune.
Lors de son passage à la tribune de la 78e Assemblée générale de l’ONU, le ministre du gouvernement de transition a dénoncé « l’hypocrisie » des puissances occidentales, en particulier la France, en faisant un parallèle avec l’Ukraine, soutenue dans sa guerre contre la Russie, alors que le Burkina Faso, qui fait face aux groupes armés et terroristes, attend toujours de l’armement qu’il estime « bloqué » volontairement par ses partenaires internationaux.
A Emmanuel Macron président de la France, il ne manquera pas de servir une leçon mémorable pour tout ce que la France a fait subir et perdre à l’Afrique. Ce très puissant discours du Burkina Faso tout le monde doit l’entendre.
Je ne connais pas de pays développé par un putschiste. S’il y en aun seul merci de me le signaler. Je ne connais pas non plus parmi les 192 pays représentés aux Nations-Unies, un seul pays développé, dirigé par un régime militaire. Parmi les 100 armées les plus puissantes au monde, je n’en connais pas une seule qui dirige un gouvernement. Le Niger, le Burkina, la Guinée, le Mali, se bouscule à la queue de tous les classements en matière de développement. Cherchez l’erreur!
Au Sénégal, l’effondrement du système éducatif sous Diouf commence à se faire sentir dans la nullité du débat et les carences des instituteurs, maîtres d’écoles, professeurs d’universités. Ne parlons pas des animateurs dits « journalistes » incultes trop paresseux pour se cultiver ou se former. Cette masse inculte et corrompue (instituteurs nullards genre dame mbodj, faux prof d’université genre Ngouda Mboup, faux journaleux genre Banc public, société civile politicienne etc…plus les jeunes refoulés de l’école et de l’université faute de résultats) constitue la minorité nihiliste, violente et bruyante de l’ex-Pastef. Ils détestent tout le monde. Ils insultent tout le monde. Ils brûlent les universités témoins de leurs échecs. Ils saccagent des médias coupables de pluralité. La racaille de la diaspora constituée d’immigrés de 40 ans sans emploi sérieux achève le décors. Ce sont ces malades de haine et de frustration qui vont s’attaquer au BRT, au TER, aux Usines d’eau de KMS,aux centrales de la senelec. Avec une spécialité couvrir d’injures quiconque pense différemment sous couvert d’anonymat.
Mais foutez nous la paix! Vous êtes comme des gamins devant une sucette! En quoi ce discours change la situation au Burkina? Ou même au Mali? Vous y êtes allez? Moi si! Il n’y plus d’écoles au nord du Burkina, les burkinabés sont des réfugiés dans leur propre pays! Un pays enclavé qui respire par les ports d’Abidjan, Accra, Lomé ( un autre pays ou royaume devrais-je dire, qui n’est pas une référence en matière de démocratie ) ou cotonou? Faites un tour au nord du Burkina ou du Mali, pour faire un article? Et on verra ce que ces discours de petits panafricanistes à deux balles apportent à la survie de leurs peuples! Et vous verrez de vos propres yeux, que vous êtes en sécurité au Sénégal, un pays que vous voulez voir brûler! Bandes de lâches! ! Toujours le cul collé sur un fauteuil à déblatérer, pendant que des militaires, policiers et gendarmes assurent votre sécurité, celle de vos enfants et de vos familles. J’aurais voulu voir une bombe dans vos maisons familiales comme au nord du Burkina, voir vos enfants réfugiés dans un camp entrain de chercher à manger! Ainsi vous reviendrez dire merci à la république du Sénégal