Adea : Cheikh Oumar Hanne à la conquête durable des savoirs au Ghana

Le Ghana abrite les rencontres de l’Association pour le développement de l’Education en Afrique (ADEA). Des rencontres présidées par le ministre de l’Enseignement supérieur du Sénégal, Président du comité de pilotage, Cheikh  Oumar Hanne, qui exhorte, entre autres, à « la conquête durable des savoirs ».

Importance des activités de formations dans les sciences

L’Education et de manière générale et les activités de formations dans les sciences, la technologie et l’innovation (STI), en particulier, prennent de plus en plus d’importance pour le développement social et économique durable des pays.

Et le ministre de l’Enseignement supérieur, dans le vif du sujet, a mis en exergue le défi dans lequel l’Adea s’engage à travers la mise en œuvre de son Plan stratégique, des Pôles de Qualité Inter-pays et des différentes activités de partage et de vulgarisation de bonnes pratiques.

Énorme besoin ciblé d’éducation et de formation de ressources humaines

« Il se pose avec acuité et urgence, un énorme besoin ciblé d’éducation et de formation de ressources humaines de qualité, dans la maîtrise et l’utilisation de la science, de la technologie et des innovations. Dans un tel contexte, poursuit-il, les systèmes d’éducation et de formation doivent être améliorés à travers une approche par les compétences, pour répondre plus rapidement et plus efficacement aux besoins actuels mondiaux ».

Selon l’autorité, il faut relever ce challenge pour assurer la croissance économique durable, répondre au désir de bien-être de nos populations, rendre attractive l’Afrique pour les investisseurs, les créateurs, les porteurs de compétence et de savoirs.

Conquête des savoir-faire et connaissances scientifiques

Toutes choses qui lui font dire que « le seul et vrai chemin est celui de la conquête durable des savoirs, savoir-faire et connaissances scientifiques, techniques et technologiques par l’éducation et la formation de nos jeunes », a-t-il souligné

Cheikh Oumar Hanne a aussi exhorté les participants à réfléchir sur des mécanismes efficaces de mobilisation des fonds d’amorçage du Fonds Africain pour l’Education (FAE), mais également et surtout des cotisations financières des Etats membres, afin de permettre à l’Adea de remplir ses missions.

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