Abdoulaye Sy : « Les confréries et l’église peuvent développer le Sénégal »

Monsieur SY, TU ES NI PLUS NI MOINS QU UN MENTEUR ! Si tu n’as rien à dire là dessus, tu te tais et tu te terres dans ton trou de merdeux !!! RÉFLEXION NULLE

نعم…

PLUS LOIN, PLUS HAUT, PLUS FORT !
Du 20 décembre 1973 au 7 octobre 2019, beaucoup d’eau a coulé sous les ponts de la carrière de cet homme. C’est le Colonel Amadou DIALLO qui est ici cité ; lui qui quitta son Mabo natal, au cœur du Ngnily ; ce terroir compris entre le Ndoucoumane et le Rip, pour regagner l’école de gendarmerie au Camp Pol Lapeyre, à Ouakam ; ce village traditionnel lebou de Dakar ; après avoir satisfait aux exigences du concours d’entrée; comme nombre de ses camarades issus des autres localités du Sénégal.
Très vite, il se distingua par son engagement, sa détermination et son sens élevé du devoir accompli. Déjà après seulement trois années dans le grade de « gendarme », il s’inscrivit à l’université « Cheikh Anta Diop » pour une « capacité » en droit. Il a su aussi relever le niveau de ses connaissances professionnelles et générales en réussissant cumulativement à l’examen du diplôme d’aptitude professionnelle(DAP) et au baccalauréat en qualité de candidat libre. L’Inspection d’académie de Kaolack de cette époque est là pour l’attester.
Comme l’appétit vient en mangeant et n’ayant encore satisfait le sien dans le domaine du savoir et de la connaissance, il s’inscrivit au concours d’entrée à l’Ecole nationale des officiers d’active(ENOA) qui venait d’ouvrir ses portes à sa première promotion. Cette détermination ne sera contredite par un certain Ismaila Sarr ami d’adolescence avec qui il aimait cogiter en apartheid, ainsi que les éléments de la DOUZIEME/EG.
Avec un rang honorable et après deux années d’une formation éprouvante, il étrennât son grade de sous-lieutenant et retournât à la gendarmerie où très vite, il se fît une bonne presse et une appréciation positive ; aussi bien auprès de sa hiérarchie que des subordonnés qui eurent à le pratiquer. Cela lui a permis de gravir tous les échelons jusqu’au grade de colonel et d’être porté à la tête de plusieurs unités et services de la GENDARMERIE NATIONALE.
Son courage raisonné doublé d’une témérité intelligente, son sérieux, son engagement et sa détermination firent de lui un officier apte aux missions de paix pour le compte de l’ONU surtout. Cela lui a permis d’occuper d’abord un poste de CIVPOL avant celui international avec l’Agence des nations unies pour les réfugiés pendant 14 ans. Ce temps lui a permis de servir au Liberia, en Guinée Conakry au Burundi au Rwanda, en Uganda, en Tanzanie, au Kenya, en Ethiopie, au Tchad (2fois) en Centre Afrique et au Cameroun ; pour ne citer que cela.
Pendant toutes ces « escapades », jamais il n’a oublié ses camarades de promotion de Pol Lapeyre et de l’ENOA pour qui il voue un attachement sans faille.
De retour au bercail le voilà le Colonel Amadou Diallo avec un capital d’expertises et d’expériences en bandoulière et qui choisit de consacrer tout son temps à l’humanitaire local avec ses pairs et proches de la commune de Mabo et ses 44 villages ; créée par décret 2011-423 du 29 mars 2011 ; qu’il porte toujours dans son cœur. Il ne rate jamais l’occasion de le prouver par des faits et gestes nobles. D’ailleurs les jeunes de son terroir sont là ; s’il fallait le prouver. Ils lui ont d’ailleurs attribué le parrainage de la finale du tournoi de football qui va opposer, ce lundi 07 octobre 2019 les deux meilleures équipes de ce tournoi communal.
Cette finale sera clôturée ; selon quelques proches, par la remise d’une coupe et des jeux de maillots, aux participants. La cerise sur le gâteau de cette soirée sportive sera la prestation des troupes folkloriques qui vont distiller le « Ngoyane » suivi d’un ralliement de « TENORS EN POLITIQUE » qui ont décidé de le rejoindre dans l’ALLIANCE qu’il vient de mettre sur pieds ; afin de briguer la mairie et développer la commune de Mabo qui en a grandement besoin. PLUS LOIN, PLUS HAUT, PLUS FORT cher Colonel et que les prières de la « Douzième » vous accompagnent AMEN !!!

Ecouter monsieur ly de 1960 a maintenant nous senegalais ont travaille ya trop dindecipline dans ce pays ont naime trop la faciliter nous sommes nul en politique les 90 pourcents cest des profitards ils aiment largent facile le piliticien il voi que ce qui larrenche la politique cest un lieux de senrrichire il faudra quont change de systeme francement soncko a raison dans toutes les lignes ne nous leurront pas seule le travaille paye