72 eme anniversaire de Cheikh Moussa Camara, un fidèle compagnon de Maodo et de Bamba

 » C’était non seulement un homme de Dieu, un saint, un savant, mais aussi un anthropologue, un sociologue, un historien, un astrologue, un pédagogue, un scientifique…« ; ces propos du porte parole de la famille, Ismaila Kamara résume bien le portrait psychologique de cet érudit qui a marqué le 20 eme siècle.

A l’occasion  de la 72 eme anniversaire de sa disparition, célébrée ce week-end dernier au village de Ganguel, ses aïeuls l’ont rendu un vibrant hommage, lançant un appel à toute la oumah islamique à se référer sur le legs de ce sage du Fouta.

Par ailleurs les héritiers de ce savant multidimensionnel ont profité de cette occasion pour remercier le président Macky Sall, qui a été le premier chef d’Etat à rencontrer la famille de Cheikh Moussa Camara. Pour ces derniers, après de vaines démarches depuis sa disparition, c’est seulement en décembre 2015 qu’un président a accepté de recevoir sa famille. Ni Senghor, ni Abdou Diouf, ni Abdoulaye Wade n’ont daigné le faire.

Toutefois, elle invite au gouvernement de continuer dans cette lancée en mettant en exergue les promesses faites pour immortaliser les œuvres de ce fidèle compagnon de Bamba et de Maodo.  » C’est pourquoi, je me permets, avec beaucoup de respect, de rappeler au président de la République l’urgence de mettre en œuvre ses idées pour sauver ce trésor inestimable pour l’humanité toute entière. C’est un cri de cœur pour que Cheikh Moussa Camara retrouve son trône doré dans le gotha des marabouts Sénégalais, des plus grands penseurs de ce monde « .

8 COMMENTAIRES
  • ceddo

    M. Guèye, votre texte est truffé de fautes. J’en ai compté 7 . Quand vous proposez un produit à des lecteurs dont vous ignorez le profil, il faut veiller à le vérifier très sérieusement.

    • Amadou Gueye

      je préfère écart de langage que fautes, faute n’existe qu’entre le rapport divin et l’Homme. Svp M, pouvez vous nous lister les écarts de langages notés dans ce texte?

  • ceddo

    Vous de Sénégal, vous m’avez demandé de vous lister les fautes dans ce texte. Je vous l’envoie mais vous censurez. Pourquoi ce petit jeu qui ne vous grandit point ?

    • Amadou Gueye

      Je vous les envoie, pas je vous l’envoie. Je ne suis pas au courant. Vous avez l’adresse mail, copiez la et transmettez les écarts de langage notés.

  • ceddo

    Vous de Senego, je veux dire.

  • ceddo

    C’est vraiment puéril, ce jeu dans lequel vous voulez m’entraîner. J’ai bien dit : » je vous l’envoie  » parce que c’est en référence à votre phrase : » lister les écarts de langage… envoyer « . Le « l’  » peut valablement remplacer toute votre phrase ou plus simplement « lister ». Dites-vous bien que je n’hésiterai pas à débusquer des fautes et des incorrections de langue chaque fois que de besoin et à vous les signaler . Il y va de la clarté de vos informations. Vous devriez me remercier pour ça au lieu de jouer à la tête de mule.

    • Amadou Gueye

      Tu perds ton latin mon cher. On débusque pas des fautes on décèle des fautes. On débusque un animal ou une personne.
      Je ne cherche pas à jeter de l’opprobre sur tes écrits ou faire un débat à bas à étage comme tu l’as cherché à plusieurs reprises sur des articles. Ici je persiste, vous avez commis un écart de langage c’est (les) pas l’, car c’est les fautes dont tu fais référence.  » vous m’avez demandé de vous lister les fautes dans ce texte. Je vous l’envoie « .
      Par ailleurs, ce qui m’intéresse c’est le débat de fond sur l’analyse de l’article sur la Mauritanie. Je t’ai interpellé mais tu n’as pas encore réagi. » Réfléchir c’est difficile, c’est pourquoi beaucoup préfèrent de juger  » dixit Confucius

  • ceddo

    Les connaisseurs de la langue française jugeront qui a raison entre vous et moi. Je comprends que c’est votre orgueil qui vous pousse à refuser l’évidence. Plus vous continuez à polémiquer, plus vous montrez vos limites. Comment pouvez-vous soutenir qu’il est faux de dire  » débusquer des fautes « ? (pour dire partir à la chasse aux fautes). C’est gravissime ! Par ailleurs, je vous ai envoyé mon relevé des fautes à deux reprises, sans suite. Et enfin n’essayez pas de jouer au plus rusé ou à l’amnésique : le texte en question, ce n’est pas celui qui porte sur la Mauritanie mais sur Cheikh Moussa Kamara.

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