La police a voulu mettre au pas la presse nationale et internationale venue couvrir le sit-in du Pds. Mais il fallait compter avec ces confrères déterminés à faire leur travail, le devoir d’informer sans aucune pression. «Si vous arrêtez un des nôtres, vous allez nous embarquer tous au commissariat… », répondirent en chœur les journalistes aux policiers matraques à la main et qui voulaient les parquer dans un coin de la place de l’Obélisque.