La marche de Ñoo Lank Ñoo Bañ n’a pas été tenue comme prévue. Les forces de l’ordre ont interdit toute manifestation, avec beaucoup d’arrestations. Des bombes lacrymogènes ont été lancées aux journalistes.
Atteinte à la liberté de la Presse
Ce commandant de Dakar plateau a ordonné à ses éléments de lancer des bombes lacrymogènes sur les journalistes. Un acte décrié par la Presse, qui dénonce une atteinte à la liberté de Presse légalement consacrée par la Constitution.
A noter que depuis quelque temps, les journalistes sont attaqués par les policiers lors des manifestations au Sénégal. Ce fut le cas lors de la marche de Guy Marius Sagna, Professeur Babacar Diop au Palais, à l’origine de leur arrestation.
Des sanctions contre le commandant
Une affaire à suivre, car les journalistes ne vont pas se laisser faire. Ils exigent des sanctions à l’encontre de ce commandant qui a incité ses hommes à exercer des actes de violence barbare contre eux.
Regardez !