Mamadou Ndione (DG Cosec) : « On ne peut bâtir ce pays sans construire la ruralité »
Le nouveau directeur général du Conseil sénégalais des chargeurs (COSEC), Mamadou Ndione, a salué l’option des pouvoirs publics sénégalais consistant à bâtir le Sénégal en construisant « la ruralité », une manière selon lui de « corriger la trajectoire » du pays.
« On ne peut bâtir ce pays sans construire la ruralité. La région de Tambacounda (est), par exemple, constitue un cinquième de la superficie nationale avec 69 habitants au kilomètre carré, au moment où Dakar, qui représente 0,28% de la superficie nationale, a 6000 habitants au kilomètre carré », a-t-il fait observer dimanche à Diass (Mbour, ouest).
M. Dione, un responsable de l’Alliance pour la République (APR, au pouvoir) dans cette commune, rencontrait populations locales et militants et sympathisants de la mouvance présidentielle, suite à sa nomination à la tête du COSEC.
« Le président Macky Sall est en train de corriger la trajectoire du Sénégal dans le bon sens, et nous qui sommes du monde rural en savons quelque chose », a dit le nouveau DG du COSEC, selon qui Diass « doit jouer un rôle beaucoup plus important » dans cette perspective, avec la mise en service, en 2018, de l’aéroport international Blaise Diagne.
Selon Mamadou Ndione, également membre du conseil départemental de Mbour, les populations locales devraient grandement tirer profit de cet aéroport international construit sur un site de Diass.
Outre l’hydraulique rurale également « en marche », Mamadou Ndione a évoqué l’impact d’autres programmes dédiés à la correction des disparités dans le développement des terroirs, dont le Programme d’urgence de développement communautaire (PUDC).
De même, « les bourses de sécurité familiale, la Couverture maladie universelle (CMU), le nouveau pôle urbain de Diamniadio, le Train express régional (TER), entre autres programmes, sont en marche (…) », a estimé le nouveau DG du COSEC.
Selon lui, toutes ces initiatives sont « en train de corriger la trajectoire du pays pour l’insérer dans le lot des pays émergents pour arriver au développement intégral et inclusif au service des populations ».
Le concept est assez douteux pour traduire le retour au champs ou la mise en valeur economique des campagnes
Ce gars là doit avoir une cervelle de moineau pour nous avoir délivré des inepties et énormités de ce genre ! On en a franchement marre des slogans ! « » »ruralité » » » ! c’est quoi ce nouveau concept de merde là !
Toujours les mêmes refrains qui finalement endoŕment son monde.