Vidéo – Hommage à Maodo : De magnifiques chants tidjanes dans quartier général…
Amadou FALL
Hommage à Maodo : De magnifiques chants tidjanes dans quartier général…
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7 COMMENTAIRES
Dr Mouhamadou Bamba NDIAYE
19/06/2017 à à 7:10
En dépit de sa vaste érudition et de ses dons mystiques avérés, Cheikh Seydi El Hadj Malick SY (Maodo) avait choisi d’être disciple de Cheikh Ahmad TIDJANI Chérif pour l’éternité ; oui, il avait toutes les qualités et dispositions pour créer sa propre voie, mais il avait préféré être sous la tutelle d’un éminent ‘’Homme de Dieu’’, un Saint d’un rang exceptionnel, et d’être promu comme un substitut (vicaire) digne de confiance devant les hommes de sa génération. Oui, Cheikh Seydi El Hadj Malick SY (Maodo) n’a jamais envisagé son ascension en dehors de la Tidjaniya ; dès lors, il n’était qu’un maillon d’une longue chaîne (généalogie) spirituelle (silsila) et ne pouvait que jouer la partition qui lui était assignée ; bref, il n’était qu’un disciple et serviteur qu’Allah avait comblé de bienfaits, en lui conférant le statut de ‘’khalife de Cheikh’’ et donc de pôle (khoutb) détenant une ‘’autorisation spéciale’’ (idznou’l khass) pour appeler les hommes sur le chemin d’Allah. Ainsi, son allégeance à Cheikh n’était point le fait d’un complexe d’infériorité par rapport à une race – fusse-t- elle celle du Prophète (PSL), mais le fait d’un choix divin, d’une faveur divine ‘’imméritée’’. En vérité, en souscrivant à la Tidjaniya, Cheikh Seydi El Hadj Malick SY (Maodo) avait accrédité son vénéré maître, Cheikh Ahmad TIDJANI Chérif (1737-1815) qui s’était proclamé solennellement comme le « Sceau des Saints » (al khatima’l wilâyah) et avait annoncé que le Mahdi attendu à la ‘’’fin des temps’’ (akhirou zamân) sera son disciple ; il s’était donc engagé, et en connaissance de cause, dans cette perspective christique ; dès lors, il ne pouvait être qu’un précurseur du Mahdi …
MASS dét waay naniou bayi genrou wakh you amoul ndiarigne yi té danguéne di sagalou Serigne touba rek mane dé mouride la wayé alhadji Malick beug nako sama biir khol ndakh nitou nitou YALLAH pire le té ligueyam thi lislam rafet na reuy neu nous ne sommes pas en guerre entre nous essayons ensemble de nous tourner vers l’essentiel qui est de purifier nous cœur ect…
En dépit de sa vaste érudition et de ses dons mystiques avérés, Cheikh Seydi El Hadj Malick SY (Maodo) avait choisi d’être disciple de Cheikh Ahmad TIDJANI Chérif pour l’éternité ; oui, il avait toutes les qualités et dispositions pour créer sa propre voie, mais il avait préféré être sous la tutelle d’un éminent ‘’Homme de Dieu’’, un Saint d’un rang exceptionnel, et d’être promu comme un substitut (vicaire) digne de confiance devant les hommes de sa génération. Oui, Cheikh Seydi El Hadj Malick SY (Maodo) n’a jamais envisagé son ascension en dehors de la Tidjaniya ; dès lors, il n’était qu’un maillon d’une longue chaîne (généalogie) spirituelle (silsila) et ne pouvait que jouer la partition qui lui était assignée ; bref, il n’était qu’un disciple et serviteur qu’Allah avait comblé de bienfaits, en lui conférant le statut de ‘’khalife de Cheikh’’ et donc de pôle (khoutb) détenant une ‘’autorisation spéciale’’ (idznou’l khass) pour appeler les hommes sur le chemin d’Allah. Ainsi, son allégeance à Cheikh n’était point le fait d’un complexe d’infériorité par rapport à une race – fusse-t- elle celle du Prophète (PSL), mais le fait d’un choix divin, d’une faveur divine ‘’imméritée’’. En vérité, en souscrivant à la Tidjaniya, Cheikh Seydi El Hadj Malick SY (Maodo) avait accrédité son vénéré maître, Cheikh Ahmad TIDJANI Chérif (1737-1815) qui s’était proclamé solennellement comme le « Sceau des Saints » (al khatima’l wilâyah) et avait annoncé que le Mahdi attendu à la ‘’’fin des temps’’ (akhirou zamân) sera son disciple ; il s’était donc engagé, et en connaissance de cause, dans cette perspective christique ; dès lors, il ne pouvait être qu’un précurseur du Mahdi …
maodou talibé khadimou rassoul
MASS, Domou MAODO rek khadioul si BAMBA wahatoumak mom…
MASS dét waay naniou bayi genrou wakh you amoul ndiarigne yi té danguéne di sagalou Serigne touba rek mane dé mouride la wayé alhadji Malick beug nako sama biir khol ndakh nitou nitou YALLAH pire le té ligueyam thi lislam rafet na reuy neu nous ne sommes pas en guerre entre nous essayons ensemble de nous tourner vers l’essentiel qui est de purifier nous cœur ect…
wakh bou raféte bakhna torope mo guene wakh boy yé fitna. sérigne touba dafa wirde wirde chéikh 7 ans. dioulite dafay mandou
bien parl Isma yalna yallah tap holi comme disait Dabakh Malick
Des energumenes comme masse ne merite pas un cerveau