Elle tue son bébé de 10 mois : Découvrez ce qu’elle fait sur Internet

En mai, Malachi Jackson est mort à l’âge de dix mois. Sa mère, 24 ans, s’était empressée de lancer une cagnotte en ligne en vue de financer ses funérailles. Elle a depuis avoué le meurtre de son enfant à une amie, et a été arrêtée.

4 300 dollars étaient déjà collectés

Aux États-Unis, c’est l’indignation. Une mère de famille de 24 ans est accusée d’avoir assassiné son bébé en l’étouffant à l’aide d’un oreiller en mai dernier. Ce dernier avait été retrouvé mort à l’âge de dix mois, dans des circonstances jugées troubles. Les jours suivant cette tragédie, la mère en apparence éplorée et endeuillée s’était empressée de lancer une cagnotte en ligne sur le site GoFundMe, dans l’espoir de recueillir des fonds pour organiser de belles funérailles à son enfant. Elle avait réussi à apitoyer des centaines d’Américains, et avait recueilli 4 300 dollars.

La meurtrière arrêtée

Oui mais voilà… Comme le révèle ABC News, Victoria Jackson a été arrêtée ce vendredi 1er novembre, après avoir révélé à une amie son geste. Cette dernière s’est empressée de la dénoncer à la police. Face aux enquêteurs, la mère âgée de 24 ans a reconnu son acte et a expliqué avoir assassiné son enfant en l’étouffant avec un oreiller. Les raisons de ce passage à l’acte n’ont pas été communiquées. Elle a été mise en examen pour « meurtre au premier degré », soit un meurtre commis avec préméditation. En France, on parle d’ »assassinat ».

Le site GoFundMe a fermé la page dédiée au jeune Malachi

À l’annonce de l’arrestation de la mère de famille, le site GoFundMe a fermé la page dédiée au jeune Malachi. Reste à savoir si les fonds récoltés par la mère mise en examen lui seront réclamés ou non. Nul doute que les donateurs regretteront, pour une fois, leur bon geste. Une proche de l’accusée a dénoncé « la manipulation » de cette dernière, prête à tout pour obtenir le plus d’argent possible : « C’était tellement malsain au point qu’elle tendait presque la main pour qu’on lui donne régulièrement de l’argent. Elle disait : ‘S’il vous plaît, faites un don’, à untel ou unetelle, sans jamais donner de détails sur la mort de son enfant ».

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