Sur la corniche à Dakar, trois gaillards se relayent sur elle, devant son mari

C’est un couple qui doit être traumatisé pendant longtemps par ce qui vient de leur arriver. Ce couple Gabonais vivant au Sénégal n’oubliera jamais sa promenade en cette période de forte canicule sur la corniche Ouest à hauteur de la plage de la mosquée de la divinité de Ouakam.

Selon senewews.com, le 21 juin dernier entre 21h et 22h, assis confortablement sur un banc public en face des eaux de la plage divinité de Ouakam, M. et Mme ont eu la malheureuse visite d’une bande d’agresseurs qui après avoir arraché leurs téléphones portables et leur ordinateur ont violé la dame à tour de rôle.

Sous le regard impuissant du mari qu’ils avaient neutralisé à l’aide d’un couteau pointé à la gorge, précise notre source, les trois agresseurs se sont relayés sur sa femme. Pendant que l’un d’entre eux satisfaisait sa libido, les deux autres torturaient le mari avec un couteau. Ce fut ainsi jusqu’à ce que tous les trois étanchent leur soif. Le dernier coup achevé, il jette le mari sur son épouse qui agonisait de douleur et de mépris par terre.

Quelques jours plus tard, alors qu’elle s’apprêtait à descendre pour se rendre à l’hôpital où elle suivait un traitement depuis le viol, Mata. L aperçoit un de ses présumés violeurs en bas de sa fenêtre. Mais avant de descendre le garçon avait disparu.

Un autre jour, mais cette fois-ci avec son mari, ils revoient le même gars dans le quartier, à la cité avion de Ouakam. Ils contactent les éléments de la brigade de la gendarmerie de Ouakam leur faisant part de la présence de l’un de leurs agresseurs et violeurs, révèle la même source. Ces derniers sont vite venus le cueillir tranquillement.

Devant les enquêteurs, le jeune peulh P. A. Diallo nie en bloc les accusations du couple. Le 7 juillet dernier, il a été remis entre les mains du procureur. Quant à la dame, elle avait effectué des tests de VIH/SIDA et d’autres Maladies et Infections Sexuellement Transmissibles (IST- MST) et attendrait toujours les résultats.

1 COMMENTAIRE
  • Tate gui

    Gni gno gnaf sen ndey deug badio rk diarna li eu pense

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