(Photo) Mor Talla alias « Naar bi », l’ex danseur devenu agent de sécurité aux USA

(Photo) Mor Talla alias « Naar bi », l’ex danseur devenu agent de sécurité aux USA

Figurant dans de nombreux clips d’artistes de renom, Mor Talla est l’un des danseurs qui a sans doute marquer sa génération. « Naar Bi » on l’appelait du à son accoutrement maure, Mor prestait des pas de danse uniques à son genre. Aperçu au pays de l’oncle Sam, l’artiste tourne le dos à la danse pour devenir un agent de sécurité. Sur cette photo, vous verrez ce retournement de situation qui fait beaucoup jaser en ce moment.

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14 COMMENTAIRES
  • fallou galass

    mor sama kharit namenala trop

  • Senerap

    au moin il a su choisir le bon du mauvais contrairement à tous ces mecs qui dansent dans les tanne béer.

  • un senegalais a NYC

    Je le connais tres bien. il ne fait k cela seulma, il a une ecole de danse aussi.c un vrai hustler.he works hard.

  • pibonn

    Muy bien tio

  • birane

    Waaa mor j veu i fai partir ddd jsui 1 ancien militaire

    • "Bubaka" SECURITY ALiou DIOP

      Félicitations Mor
      Je me présente ex. époux de YACINE FAYE une fans exceptionnelle.
      J’ai monté une entreprise de sécurité privée et j’ai adopté le style Américain .
      Tu voudras bien me joindre nous pouvons travailler ensemble .
      BEST REGARDS,

  • bamba

    Bayilene lougnou wakh ancien militaire moy lan ci toubab les 80 % c des ancien militaire c quelque chose qui est normal , aux usa les gangs policier yi dagnouy mousli ci ñom , te policier Senegal yi difa dem stage, mounane je suis ancien militaire bilafayda way

  • nekh

    congratulations

  • Amzo barry

    Mor tu es un vrai homme merci mn grand

  • niarou sene

    Di courage mor

  • Fa

    Ame diom rek. C'est bien il faut savoir se convertir pendant qu'il est temp.

  • DJILYKOU

    yala nala yala diabale

  • ous

    trais content

  • DEUGEU DOU WESS

    MAIS MOR TALLA NA PA LAISSé LA DANSE IL GERE UN SALLE DE DANSE AU USA . IL DONNE DES COURS DE DANSE AU AMERICAIN .

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