Allant à l’encontre de la position affichée depuis quelques temps par son secrétaire général qui ne rate pas l’occasion de fustiger la politique du président Macky Sall. Selon nos sources, la LD a plutôt suivi la ministre de l’Urbanisme, Khoudia Mbaye, qui s’est battue pour que son parti reste dans Benno
Bokk Yakaar et continue à siéger au sein du Gouvernement.
Bokk Yakaar et continue à siéger au sein du Gouvernement.
De sa nomination à sa démission annoncée, Mamadou Ndoye n’a jamais cessé de marquer sa divergence avec Son parti sur l’appréciation de l’action gouvernementale. Il s’est montré notamment critique sur de nombreuses questions, ne manquant jamais l’occasion de critiquer vertement le Chef de l’Etat. Une attitude peu conséquent d’autant plus que c’est le Président Macky Sall qui avait mené une campagne assidue au plan international, pour
la nomination d’Abdoulaye Bathily, lui permettant de libérer le poste de Secrétaire général de la Ld occupé par son ami Ndoye.Récemment encore, le Président Sall a déployé tous les moyens diplmatiques et engagé les ressources de l’Etat, pour la candidature du professeur Bathily au poste de Président de la Commission de l’Union africaine. La démission de Mamadou Ndoye pourrait ouvrir des lignes de fracture au sein de la Ld et pourrait installer ce
parti dans une crise à la veille des élections législatives. Au lendemain de la Président de 2000, un débat similaire s’était posé et avait conduit au débat de Mbaye Diack, alors numéro deux du parti, qui avait poursuivi le compagnonnage avec Abdoulaye Wade, contre l’avis de la direction de son parti.
la nomination d’Abdoulaye Bathily, lui permettant de libérer le poste de Secrétaire général de la Ld occupé par son ami Ndoye.Récemment encore, le Président Sall a déployé tous les moyens diplmatiques et engagé les ressources de l’Etat, pour la candidature du professeur Bathily au poste de Président de la Commission de l’Union africaine. La démission de Mamadou Ndoye pourrait ouvrir des lignes de fracture au sein de la Ld et pourrait installer ce
parti dans une crise à la veille des élections législatives. Au lendemain de la Président de 2000, un débat similaire s’était posé et avait conduit au débat de Mbaye Diack, alors numéro deux du parti, qui avait poursuivi le compagnonnage avec Abdoulaye Wade, contre l’avis de la direction de son parti.
Quelle honte