Le mannequin Amina Badiane fixe un nouveau cap à « Miss Sénégal nouvelle vision »

« Miss Sénégal nouvelle vision« , qui a racheté les droits d’organisation de l’élection « Miss Sénégal« , ambitionne de replacer le Sénégal dans l’élection de « Miss Univers« , a annoncé mardi la présidente de la nouvelle entité, Amina Badiane.

Le Sénégal n’a plus participé à une élection « +Miss Univers+ depuis 30 ans« , a-t-elle signalé au cours d’une conférence de presse, rapporte l’agence de presse sénégalaise, avant de donner rendez-vous pour mars 2018, date choisie pour le renouvellement de la licence du Sénégal auprès du comité d’organisation de « Miss Univers« .

Mme Badiane, se disant « guidée par l’envie, juste la passion« , a révélé avoir racheté à Moïse Ambroise Gomis les droits d’organisation de l’élection « Miss Sénégal« , le 1er janvier 2016.

« J’étais émigrée, j’ai fait vingt ans en Italie. J’ai remporté plusieurs trophées de Miss en Italie, j’ai acquis beaucoup d’expérience. Je me suis demandé pourquoi ne pas racheter les droits d’organisation de l’élection +Miss Sénégal+, vu que Moïse [Ambroise Gomis] avait des difficultés« , a-t-elle déclaré, tout en se gardant de préciser le montant de la transaction, indique la même source.

« C’est entre Moïse et moi, je n’ai pas voulu le dire, c’est à coup de millions bien sûr, c’est entre nous », a lancé la présidente de « Miss Sénégal nouvelle vision« , qui se donne pour objectif principal de « faire la promotion de la destination Sénégal« , pour attirer davantage les investisseurs vers son pays.

Selon Amina Badiane, l’élection « Miss Sénégal » est « un créneau qui peut rapporter » beaucoup, mais elle déclare vouloir aider surtout les jeunes filles à percer dans le milieu de la mode et du mannequinat. « Etre miss ouvre de multiples opportunités » à travers des voyages et des contrats avec des marques de cosmétique par exemple, sans compter la possibilité de travailler pour des marques ou à la télévision, a souligné Mme Badiane, ex-miss et mannequin.

Aminata Badiane a travaillé pour des chaînes de télévision et des marques de vêtements en Italie, après un passage au lycée Malick-Sy de Thiès, une expérience qui fonde sa conviction selon laquelle les miss actuelles ont « plus d’opportunités » que les mannequins.

 

1 COMMENTAIRE
  • Ibrahima

    brava cara sono un fotografo ho capito tanto che dura il mestiero di moda come te ti auguro buona fortuna per il resto

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