Koffi Olomidé: « Moi, je sais que je n’ai pas frappé, ni violé, ni séquestré »

La star de la rumba congolaise nie tout. Les accusations de viol et de séquestration de danseuses, qui ont porté plainte en France, où Koffi Olomidé est toujours poursuivi et sous le coup d’un mandat d’arrêt international ? « Des témoignages bidons ». Le violent coup de pied à l’une de ses danseuses à l’aéroport de Nairobi, et dont la vidéo postée sur Internet a provoqué l’émoi et donné lieu à une procédure judiciaire en République démocratique du Congo ? « Le coup de pied n’a jamais atteint la danseuse. »
J’ai présenté mes excuses publiquement. Je ne suis pas un surhomme et je me suis emporté. Je le regrette. Mais je n’ai pas voulu la frapper. J’ai simplement voulu lui faire peur. D’ailleurs, mon coup de pied n’a jamais atteint la danseuse. Les policiers présents sur place l’ont bien vu et ils ne m’ont pas interpellé. C’est une fois que la vidéo a été postée sur Internet que le buzz a éclaté. Des ONG de défense des droits des femmes au Kenya ont demandé à ce que je sois interpellé, sans doute sous le coup de l’émotion. Les autorités kényanes m’ont expulsé, mais elles ont constaté qu’il n’y avait pas de coup et de blessure. Je le répète : je n’ai pas frappé cette danseuse.

Concernant le mandat d’arrêt international émis en 2009, à la suite d’une plainte de quatre de ses danseuses, il répond: « Mon public est féminin, ne l’oubliez pas. Je n’ai jamais violé qui que ce soit, je n’ai jamais séquestré. Si je ne viens pas en France, c’est que j’ai peur d’aller en prison. Je suis un père de famille. Et je vous le dis : ces quatre danseuses ont inventé ces histoires pour obtenir les papiers et rester en France.
Avec le monde.fr.

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