Interdit aux moins de 18 ans !!!

C’est l’histoire d’un grand-père avec son petit-fils. Celui-ci était venu se plaindre de son épouse. Entre les deux, rien ne semblait pouvoir plus marcher. L’homme de 40 ans, n’avait plus aucun désir de sa chère épouse, qui en était une bonne quand même, selon toutes les apparences et tous les témoignages de la famille. Elle n’est certes plus la pétillante jeune fille à la peau lisse, aux muscles fermes, au jeune corps qui frémissait de vitalité d’il y a quelques années, mais, elle n’avait pas perdu toute sa fraîcheur. Trois maternités plus tard, avaient changé sa silhouette gracile et fine. Certains hommes, adeptes des femmes rondes et bien en chair, se retournaient toujours sur son passage. Y avait quelques vergetures qui partaient des aisselles, des culottes de cheval qui s’annonçaient, mais, globalement, elle était toujours sortable, surtout avec ce beau sourire qui est son atout majeur.
Le grand-père écoutait les lamentations de l’homme, d’un air distrait qui ne donnait pas beaucoup de crédibilité aux arguments du bonhomme, quand une phrase le fit sursauter. L’homme expliquait qu’il avait trouvé sa dame dans les toilettes où, elle prenait une douche pour lui remettre l’argent de la dépense. C’est ce qui avait fait tiquer le vieil homme. « Répète ce que tu viens de dire. Ai – je bien entendu que tu as trouvé ta femme en train de se laver ? Elle était nue donc ? Tu as vu ta femme nue ? ». Un peu confus, et surpris par la question, l’homme avoua que « oui, mais, c’est ma femme, Grand-père. Je crois que je n’ai commis aucun péché ? ». Le grand-père gardait le silence, effaré par ce qu’il venait de découvrir.
« Petit-fils, lui dit-il, il ne faut jamais essayer de découvrir d’où vient la saveur d’un fruit. Ce n’est pas en découvrant l’origine de la saveur d’un fruit que tu l’apprécieras le plus. Le mystère est le sel de l’inconnu. Sais-tu que je n’ai jamais vu les fesses d’aucune de mes femmes. Je les ai toujours entourées de pudeur. Je n’ai jamais regardé de mes femmes que ce qu’elles m’ont montré. Tu sais pourquoi ? Je n’ai jamais voulu les voir se flétrir, se faner. J’ai toujours évité de voir, ne serait-ce que par surprise, leurs corps. La partie qu’elles cachent aux autres, j’ai refusé moi, aussi, de la voir. Sais-tu pourquoi ? Parce que, je n’ai jamais voulu tuer le désir qui m’habitait à nos débuts. C’est ce que tu as fait. Tu as tué le désir que devrait te procurer ta femme. Tu l’as vue sous son mauvais jour. Tu as vu ses fesses fripées, son ventre bourrelé. Ton regard a changé ton désir. Ton esprit a enregistré la mauvaise image qui a tué tes envies.
On ne regarde jamais sa femme nue, même, si vous êtes dans le même lit. Refuse de la voir nue. Ferme les yeux si elle expose sa nudité à ton regard. A, elle, sa mère ne lui –t-elle pas apprise à cacher son corps à tous les regards, dont, surtout, le tien ? Pourquoi, ne lui a – telle pas dit, de garder toujours le pagne, à côté d’elle, de le mettre avant de se lever du lit, de ne jamais montrer ses fesses à son mari ? Je te rappelle que ce qui est valable pour la femme, l’est, tout aussi, pour l’homme. Quand tes muscles que tu exhibais fièrement commenceront à perdre de leur vigueur, et se liquéfieront du fait de l’âge, que ton arrière-train bloque, tu auras tout intérêt à les cacher à l’œil scrutateur de l’épouse. ». ‘’Taatt dafa niaw’’, petit-fils, on ne doit le montrer à personne.
L’homme était stupéfié par le diagnostic du vieil homme. Il venait de découvrir effectivement l’objet de ses déboires. Il l’avait sous les yeux, mais, ne pouvait le voir. C’est vrai, son désir avait été annihilé par cela. « Que puis-je faire maintenant, grand-père, j’aime toujours ma femme ? » .
« Retournes sur tes pas « lui dit celui-ci. « Emménage lui une chambre à part, donnes lui un espace tout à elle dans la maison, et va la voir comme au bon vieux temps, quand, tu lui faisais la cour. Elle va retrouver ses gestes pudiques, vous allez vous renouveler. C’est pas facile, quel que soit le degré de votre amour, de partager un espace commun de vie, surtout à vie. N’as-tu pas remarqué que tes grands-mères avaient chacune sa chambre ? Chacun a ses secrets, ses mauvaises habitudes. Aurais-tu pensé que ta belle femme, si séduisante, ronflait comme une locomotive, ou que l’homme si racé, mâchonnait en dormant, ou pétait comme un âne ? Rien que ces petits défauts, qu’aucune intimité dans les fiançailles ne peut montrer, peuvent créer un souci dans l’harmonie du couple. Y a rien de tel, que de vivre, séparés, dans la maison, ça vous donne à chacun une vie, et vous facilite de vivre ensemble pour longtemps. »
Le petit-fils se leva, et étreignit le grand-père à l’étouffer. Qui a dit que Maag diaar na bayi ci rew ?

7 COMMENTAIRES
  • laye wattiaa

    mr sanar vs tes incultes

  • Babacar

    Tres important

  • VÉRITÉ

    En tous cas pleins de sens une bonne leçon de morale oui les plus de 18ans comprennent pas moins chacun avec son niveau
    on a pas besoin de trop s’expliquer pour les esprits fins
    Diangaa naa taay deuguaaa

  • mak diarna bayi si rew

    c bien diangual nako

  • xalil

    trs important… juste que je m’attendais une affirmation de la dernire phrase plutt qu’une question

    • Alioune NDAO

      Xalil, la question de la dernière phrase vous invitait au débat.

  • bower

    Mé sanar khana cm2 nga yam ou tu as moins de 18 ans ???? Ok envoie tn adresse électronique peut être qu’avec mw ça sera plus explicite (sagesse,fidélité,intimité,responsabilité,respect…..)

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