Divorce de Abdoul Mbaye – Aminata Diack: Les vraies raisons de la séparation

Exposées récemment sur la place publique, les raisons avancées ayant abouti à la décision de justice du 3 février dernier concernant le divorce entre Abdoul Mbaye et sa désormais ex épouse Aminata Diack, n’ont pas dévoilé tous les malentendus ayant abouti à la séparation définitive. Après 33 ans de vie commune, la séparation du couple « pour  injures graves rendant l’existence en commun impossible aux torts exclusifs du mari »  serait vraisemblablement était précipitée par une histoire d’adoption d’enfant. Des raisons jusqu’ici jamais évoquées publiquement ni par madame Diack, ni par ses conseils.

Les raisons avancées par la presse comme étant à l’origine du divorce douloureux entre l’ancien Premier ministre Abdoul Mbaye et son ex épouse Aminata Diack, ne sont pas exactement les plus déterminantes qui ont poussé le couple à mettre un terme à leur union. Après 33 ans de vie commune et plus d’une décennie de cohabitation difficile dans le domicile conjugal , une histoire d’adoption de nourrisson entre l’ancien premier ministre et son autre épouse à eu raison de l’union entre les deux époux.

L’ancien premier ministre, sous le régime de la monogamie exclusive et de la communauté de biens avec Aminata Diack, ne s’était pas privé de s’unir avec une autre femme du nom de madame Wone. C’est avec cette dernière qu’Abdoul Mbaye aurait décidé d’un commun accord d’adopter un enfant pour apporter plus de chaleur dans leur relation. Cette volonté de l’ancien premier ministre n’a pas vraiment enthousiasmé son ex-épouse, avec qui la relation battait déjà de l’aile. D’après une source de Senego.com, Aminata Diack ne pouvait accepter cette décision de son époux, avec qui il a des enfants, d’adopter un autre, surtout avec une épouse qui à ses yeux et devant la loi, est une concubine.

Comble du comble, selon toujours notre source, rapportant les dires de son désormais ex-épouse, « Abdoul Mbaye n’a mis au parfum à ses enfants que par voie de message électronique de sa décision d’adopter un bébé », se morfondait-elle au téléphone avec un de ses conseils. Une situation qui aurait poussait Aminata Diack qui voulait préserver jalousement l’héritage de ses enfants d’en finir avec l’ex premier ministre du Sénégal.

 

14 COMMENTAIRES
  • dev

    En quoi la privee de Mr Abdoul MBAYE nous concerne
    Au lieu de le combattre sur le plan des idees politiques on s’attaque à sa vie privee
    Que celui qui a une vie privee toute clean leve le premier son bras

  • Anonyme

    la vie prive ne regarde personne ,seul ses ides ,son sens de responsabilits ns interessent , mais je suis dsole pour ce beau couple et leur dit tout simplement surtout mme que pour une simple femme on ne sacrifie pas 33ans de mariage surtout que celle l ne peut mettre au monde des enfants Mme mbaye revient auprs de tes enfants et de ton cher mari y’a pas le feu

  • Papefamara

    Manè c un fraudeur car il avais déjà signer pour la monogamie
    Si c’était un sénégalais lamda il déjà en prison

  • Barry 73

    non Sénégal nio niaka foula ak fayda . sounou yoon nekoussi . et puis sakh cette femme là diack je sais pas quoi si elle pense comme ça yalla moungui coy khaar . C’est quoi preserver l’héritage de ses enfants

  • Sada Alassane

    Respectons la vie privée des gens

  • beukeu

    Les coups bas commencent. Seuls les petits d’esprit s’adonnent à cet exercice. Je suis sûr d’une chose: Abdoul Mbaye est un grand monsieur, il ne va jamais tomber dans ce piège.Les sénégalais sensés (et Dieu sait qu’ils sont extrêmement nombreux) n’aiment pas ce jeu infect et puéril auquel s’adonnent les faibles. Je crois qu’à ce rythme il a de grandes chances de s’attirer la sympathie des sénégalais.

  • talibecheikh

    qu allah eloigne satan de votre couple. lii duarra santa yaala barri na sokhna ci. yaalna sougnou borrom leeral sem yoone.amiinw.

  • Badiéne.

    Bougnoula diagui diagué ba déme souli laa ba nieuye diabote guou ndaw gui tokk, dieguéne diou makdie dii kheuthio sa alal….. Une chanson pleine de sens, déwaguo niouye khalate héritage, khalisse ak dieguéne famille bouyakhou nioko yakhe malheureusement.

  • leuz

    parlons un peut d actualit intressant a quoi nous concerne cette affaire ki dit mariage dit divorce

  • moldoc70

    il veut tre prsident ? on doit creuser de A a Z sa vie pour ne pas tre surpris demain .Homme publique vie publique

  • fuck

    soof rek

  • lisezceci

    Le banquier voulait le beurre et l’argent du beurre : Abdoul Mbaye, alors Dg de la Cbao, floue Malick Sall et coule sa société Cette histoire a été racontée, mais seulement en partie, par Week-end magazine (N°147, semaine du 5 au 11 février 2011). Et ce n’est pas pour avoir démérité, de la part de l’excellent magazine, au contraire ! C’est qu’à ses origines, au début des années 90, à aujourd’hui, l’affaire a connu bien des péripéties et rebondissements qui en ont complexifiée la trame, en plus de son prolongement dans le temps, toutes choses qui peuvent la rendre faussement sans intérêt aujourd’hui. Cependant, nous ne doutons pas que la personnalité d’un des deux principaux protagonistes, en l’occurrence le banquier Abdoul Mbaye –qui n’y a pas joué le plus beau rôle, loin s’en faut-, et ce que nous allons appeler sa réputation ainsi que, allez !, on va dire son extraction familiale, n’ont pas peu contribué à l’étouffer à différentes étapes. Seulement, l’autre principal protagoniste, l’homme d’affaires qui aspirait à passer industriel quand le destin a mis Abdoul Mbaye sur son chemin, El Hadj Malick Sall, est un opiniâtre combattant sous ses dehors frêles, naïfs, voire un peu rendus instables par une histoire qui en aurait usé plus d’un parmi les humbles gens qui n’ont pas de famille puissante sur quoi s’appuyer. Et bien que sa maison dans sa ville natale, St-Louis (valeur : 329 millions) et son terrain à Dakar, aux Almadies (valeur : 257 millions) aient été vendus, que le terrain abritant son usine équipée soit en plein dans une procédure pouvant aboutir au même résultat, et que, ex-milliardaire, il circule aujourd’hui en taxi, il s’accroche encore à ce que dans une de ses innombrables lettres et mémos à Abdoul Mbaye et autres dirigeants de la Biao devenue Cbao, il appelle : « notre confiance illimitée dans ce pays où les citoyens peuvent et doivent se sentir en sécurité, protégés qu’ils sont par la justice… ». C’est ce qui fait que, mis à genoux, l’homme d’affaires est encore entre diverses juridictions, derrière mille et une procédures qui s’imbriquent les unes dans les autres, mais qu’étrangement il maîtrise comme un homme de l’art. Il se bat, non plus pour reprendre une affaire industrielle sûrement enterrée avec ses rêves d’expansion, par la seule faute, pense-t-il, de l’ex-Directeur général de la Biao d’abord, de la Cbao ensuite, avant d’atterrir à la Bst d’où, c’est étrange, une affaire similaire, sinon assimilable, lui pend encore au nez, avec une plainte d’un riche commerçant, Abdoulaye Diakhaté, l’accusant de faux et usage de faux. Le journal L’As, notamment avait titré sa une sur cette affaire ainsi : « Faux et usage de faux en écriture de banque portant sur 400 millions de F Cfa/La Chambre d’accusation confirme l’inculpation d’Abdoul Mbaye ». Pour rester dans cette affaire qui oppose le banquier à El Hadj Malick Sall, nous sommes en mesure aujourd’hui de dire que si ce dernier en est à « monter et descendre », comme disent les wolofs, les marches des administrations et juridictions derrière ses biens, c’est qu’un jour, un banquier, Abdoul Mbaye, qui devait l’accompagner de son professionnalisme dans le montage d’une usine de fabrication de produits d’entretien et de cosmétiques, a voulu entrer et faire entrer sa famille dans son affaire, en prendre la présidence du Conseil d’administration et autres leviers, en un mot, la contrôler, et qu’il a refusé. Du coup, sorti du business, mais resté son banquier, M. Mbaye aura mené la vie dure à M. Sall jusqu’à ce qu’il perde un financement de la Banque ouest-africaine de développement (Boad) garanti par le Fonds africain de garantie et de financement (Fagas), voie son affaire bloquée, ses bien confisqués. Mais reprenons tout depuis le début, puisque, apparemment, cette histoire ne serait même pas étrangère au départ de M. Mbaye de son poste de Dg de la Cbao, si l’on recoupe certaines correspondances avec la date dudit départ. Comment El Hadj Malick Sall a été ruiné « Comment j’ai été ruiné par un directeur de banque et ses avocats… ». C’est ainsi que commence le récit raconté à Week-End par l’homme d’affaires qui, aujourd’hui, dort dans son usine à l’arrêt. Et c’est ce qu’il nous a aussi raconté dans nos bureaux, vendredi dernier, 29 avril, après que nous avions appelé son avocat d’abord, lui ensuite, rendus curieux par la lecture du magazine. Et après l’avoir bien écouté, nous avons demandé et obtenu qu’il nous communique tous les documents pouvant étayer son histoire. Samedi 30, autour de 14 heures, nous étions en possession de tout un dossier, extrêmement parlant. En 1993, El Hadj Malick Sall, qui évoluait jusqu’ici en tant que commerçant dans, dit-il, « la poissonnerie et certains produits », décide de se lancer dans « le montage d’une usine de produits cosmétiques et dérivés ». Après des démarches en France qui lui ont permis de trouver des partenaires techniques, il réussit à réunir la somme de 2 milliards 100 millions de F Cfa, grâce à ses économies et à un appui de la Caisse française de développement. Somme qu’il investit dans l’équipement en machines de son usine installée sur un terrain de 4240 mètres carrés sis à Hann (Route du service géographique) obtenu en bail, extrait du titre foncier TF 5012/DG. Plus tard, il entrera en contact avec la Boad qui consentira au projet un prêt d’un milliard avec nantissement sur le matériel et le terrain, sans compter un autre cautionnement, exigé par la banque et versé par le Fagas. Tout cela, bien entendu, est assez indicateur du sérieux de l’affaire et de son promoteur, nous savons tous que les banques ne prêtent pas un milliard à n’importe qui pour n’importe quoi. Les comptes de la société en gestation sont logés à la Biao avec laquelle, en tant que simple commerçant, El Hadj Malick travaillait déjà : la Biao, qui allait être « sénégalisée » bientôt pour devenir Cbao. Son Directeur général est alors Abdoul Mbaye, jeune banquier à la réputation de sérieux et de professionnalisme déjà bien assise. Seulement, voilà, dans le cadre familial, comme il le racontera à son client, il avait déjà entendu parler de ce business des produits d’entretien sans lui accorder une grande attention. Seulement, tel que l’affaire se présentait avec la société fondée par El Hadj Malick Sall, elle l’intéressait. Personnellement. En tant qu’investisseur. Lui, mais aussi quelques membres de sa famille. Et que si le promoteur voulait lui faire une place, il ne cracherait pas sur l’opportunité. Ce n’est peut-être pas illégal, mais question éthique, c’est assurément limite… Bref ! Qui cracherait sur un banquier, le vôtre de surcroît, en tant qu’actionnaire de votre société dont les comptes sont logés dans sa propre banque ? En plus, M. Sall attend la finalisation du financement de la Boad, encore dans le circuit bancaire très technique où son futur partenaire pourrait être d’une utilité certaine. Le promoteur donne son accord, et Abdoul Mbaye lui indique même le notaire chez qui il faudrait monter l’affaire, son ami Me Ismaïla Kâ. Seulement, une fois chez le notaire, le banquier se montre gourmand et l’affaire se gâte. Voici comment le promoteur, dans une lettre écrite plus tard à M. Mbaye (reçue avec accusé de réception, le 30 décembre 1994), lui rappelle sa boulimie. « 1°) Votre souhait d’être le président du Conseil d’administration (prétention illégitime compte tenu de vos apports financiers). « 2°) Votre souhait de recruter Mlle Wade amie d’enfance de votre épouse à la tête de la Direction financière (rejeté pour raisons personnelles) « 3°) Votre souhait de fondre mes structures commerciale et industrielle en une seule entité juridique (rejeté pour une meilleure séparation des comptes d’exploitation) » Ainsi sont exposés les causes du refus du promoteur de laisser Abdoul Mbaye entrer dans son affaire, devenir son associé, mais aussi, il ne le sait pas encore, elles seront les causes de ses déboires et de sa descente aux enfers judiciaires et financiers. Dès après la signification de ce refus, qui intervient quand M. Mbaye avait déjà présenté l’affaire à sa famille qui l’aurait approuvée, celui-ci s’est acharné, au-delà du raisonnable, à mettre toutes sortes d’obstacles à la réalisation du projet par des artifices techniques et lenteurs administratives factices dans le traitement des dossiers de la société dite « Etablissement général de produits industriels (Egpe) ». Le Comité de crédit de la banque fut notamment, selon M. Sall, par abus, mis particulièrement à contribution pour saboter son affaire. Quand M. Sall demandait, par exemple, un découvert, celui-ci était transformé par M. Mbaye en créance sur attestation. Il écrit dans une lettre adressée le 6 avril 1995 à Abdoul Mbaye, encore Directeur général de ce qui était devenu la Cbao : « Pendant un an, vous avez, par des manœuvres subtiles, fait traîner en longueur le traitement du dossier industriel et commercial, pour dénaturer à votre convenance les demandes de financements… » Il ajoute, et c’est ici qu’intervient encore « la famille », et de façon un peu singulière : « Or les membres du comité de crédit seraient étonnés de savoir : « -qu’à titre personnel, vous avez décaissé plusieurs millions pour entrer dans le capital de la société Egpe « -(…) « -Que votre ‘Comité de crédit familial’, tenu à la maison maternelle sous votre présidence, a déclaré la requête du fils conforme aux intérêts de la famille et après examen du dossier, l’a jugé rentable et bénéfique ». Ensuivent quelques considérations du promoteur à l’intention du banquier dont nous nous passons, ici, avant qu’il ne donne ce qui, à ses yeux, représente la raison fondamentale de la mise en place par son banquier d’« un plan de représailles » contre lui. Un plan ayant eu pour conséquence qu’à ce jour, 17 ans après sa mise en place, la société Egpe n’a pas reçu le financement d’un milliard de la Boad, que les machines installées à l’usine de Hann n’ont jamais produit quoi que ce soit et rouillent sur place, que M. Sall a perdu sa maison de St-Louis, son terrain des Almadies, circule en taxi et dort dans son usine d’où il risque d’être expulsé si les nombreuses procédures judiciaires découlant de sa faillite provoquée se dénouaient en sa défaveur. Aujourd’hui, face à la Cbao, en tant qu’institution (embarquée selon Sall lui-même par son ancien Dg dans cet imbroglio), à ses avocats, es qualité, mais aussi à titre personnel (accusés, eux, de vouloir mettre la main sur le patrimoine foncier de l’usine), face à Abdoul Mbaye (dont il pense qu’il abuse de l’autorité et du prestige de sa famille pour réchapper de ses abus), et perdu dans ces innombrables dossiers judiciaires, El Hadj Ibrahima Sall apparaît comme quelqu’un qui veut arrêter la mer avec ses bras. Et ce n’est pas juste ! Toutes les procédures judiciaires pendantes, comme celles qui sont bouclées et ont conduit à la perte de ses biens, soit ont été initiées par Mbaye, soit découlent de dossiers contentieux bancaires nés sous son autorité de Directeur général alors qu’il baignait en pleins conflits d’intérêts, et que ses successeurs n’ont pu que suivre. Quant à El Hadj Malick Sall, s’il en est là, c’est qu’un jour, son banquier qui voulait entrer dans son affaire avec un appétit indécent s’est heurté à son refus et a décidé de mettre du sable dans le couscous. Cela est clair pour lui et maintenant pour tous ceux qui auront lu cette histoire, certes, pas encore complètement dénouée, mais suffisamment édifiante sur les rôles et intentions de ses principaux protagonistes. Pape Samba KANE Le Populaire

  • Mme diop

    Un rancunier ce abdou. Mbaye. Tôt ou tard il aura une mauvaise fin. Il aime faire mal

  • C. Ab Aidara

    Tu ne dits pas la vérité Mme diop et toi même tu ne sais pas comment tu vas finir

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