Cyber sexe : les dessous du buzz de la destination Sénégal

Entre prostitution en ligne, défilé nu avec webcam et exhibition sensuelle, les filles multiplient les astuces pour ferrer des mecs sur la toile. Seulement, pour accrocher les surfeurs en rut, il faut mettre en évidence les destinations paradisiaques ou simplement exposer des filles provenant des coins chauds du continent.

Le Sénégal, informe PointSenegal, pourtant réputé pour son ancrage religieux a cédé le pas et désormais, au peloton de tête des destinations sexuelles sur la toile, le pays de la téranga est cité comme une référence, ou tenez vous bien, malgré la qualité de l’offre, «  des maladies craintes comme le Sida sont maitrisées » lit-on dans un document de tour Opérator en promotion pour l’été qui s’annonce. Qu’est ce qui explique ce buzz de notre pays parmi les paradis sexuels ?Internet, la source du mal ou le mal du sexe.

Plusieurs raisons peuvent être avancées qui ont trait à la débauche et à la déperdition de la jeunesse. Par contre, le mal réside dans l’irruption furtive d’Internet dans notre société. En effet, l’accès gratuite aux réseaux sociaux et les multiples influences liées à la connectivité poussent nos jeunes à singer les blancs. Sinon, le complexe est tellement flagrant que la chasse aux blancs ouvre la voie à toutes sortes de dérives.

D’un petit selfie souriant,  on bascule facilement à des projets nébuleux qui poussent certaines proies à mettre en évidence leurs atouts. Fesses, seins et formes sont ainsi mises en exergue et la magie de la toile fait le reste.  Même pour des sites spécialisés dans le commerce de sexe, il est devenu courant de proposer des produits du Sénégal,  même si à la vérification, les faussaires qui utilisent des images de filles noires, présentent des modèles africains provenant pour l’essentiel des pays anglophones du continent. Mais pourquoi le nom du Sénégal est aussi usité dans le commerce sexuel en ligne ? Surfer pour trouver son ….prochain mari.

Si aucune explication plausible ne tient la route dans cette mafia en ligne, force est de constater que nos filles en sont responsables pour les excès et faits graves relatés au quotidien par la presse. En effet, le voyeurisme et les échos du Dakar by Night ont fini de faire le tour du monde. « Danses salaces, seins en l’air et pathial, dans la mondialisation des effets de séduction, donnent plus de piments  avec le « Diongue » à la Sénégalaise », rapporte une jeune femme en instance de divorce qui chasse quotidiennement sur les réseaux sociaux pour dénicher son prochain mari.

COMMENTAIRES
    Publiez un commentaire