Aida Mbodj en perspective des locales: « Macky Sall est incapable de développer le pays (…) Nous allons le bouter hors du pouvoir »

« Je veux que dans toutes les localités qu’on puisse battre cette coalition(BBY) .Vous devez avoir un seul objectif, c’est donner un avant-goût de la défaite du Président Macky Sall quiconsiste à récupérer le maximum de collectivités locales. Il faut donner récupérer le maximum de collectivités locales aux prochaines élections locales . Je vais battre campagne dans toutes les localités et gagner le maximum de localités.

L’actuel Président est incompétent et incapable de développer le pays. Nous pensons que nous allons le bouter hors du pouvoir. Le fait de ne pas se présenter pour un second mandat à la tête de la commune ne change en rien notre objectif. Cela doit être une source de motivation pour le Parti démocratique sénégalais. Mon seul challenge est de présenter un candidat capable de battre les ténors du parti au pouvoir », a déclaré Aida Mbodj.

4 COMMENTAIRES
  • unite centrale

    Dinala nekh Aïda ma carte ma lolou. Mo Yow sakh légui nga dème APR malako wakh fii

  • LASS BADIANE GRAND YOFF DIEUM KANAM

    Depuis 54 ans, nous fêtons notre accession à la souveraineté internationale de la même manière c’est-à-dire défilé militaire et civil ou prise d’armes. Depuis des décennies, c’est la même chose. Ne devrait-on pas changer de méthodes pour véritablement être indépendant ?
    Faire un bilan c’est une rétrospective de ce qui s’est passé de bons comme de mauvais et en tirer des expériences en direction de nos perspectives pour un Sénégal non dépendant. La véritable indépendance est constituée de trois facteurs fondamentaux : la souveraineté, la constitution et la monnaie.
    Parmi ceux-ci, nous ne sommes indépendants en aucune manière.
    La souveraineté : Un pays souverain n’a pas besoin de la France comme garantie lors de nos transactions avec la banque mondiale, le FMI, et/ou les investisseurs privés. Notre pays n’a plus besoin des bases françaises qui au fait contrôlent nos stratégies de défense nationale s’il en éxiste.Comment peut-on prendre notre sécurité en main si les officiels français transmettent en temps réel nos informations à leurs supérieurs c’est-à-dire nos colonisateurs permanents ?
    La constitution : Notre constitution qui est une copie conforme de celle de la France, qui a été conçue avec les traditions et les réalités occidentales par les français et pour les français ne peut nullement nous servir de support avec nos traditions et réalités différentes. Cette constitution constitue un véritable frein à notre indépendance. Elle doit être retouchée avec nos valeurs traditionnelles, culturelles, religieuses et à notre modèle de vie pour refléter notre identité nationale.
    La monnaie : Le franc CFA, propriété exclusive la France, défendue par les intérêts français n’a pas sa place chez nous car elle met un obstacle à notre indépendance monétaire et économique. Il faut qu’on soit en mesure de régler nos problèmes par nous-mêmes (c’est-à-dire les africains)en ayant une monnaie commune qui faciliterait les échanges dans le continent. Le Sénégal ne peut pas développer avec les aides français, il faut qu’on ait notre propre modèle bien réfléchi basé sur l’africanité par rapport à nos perspectives sur le plan de l’éducation, de la santé, de l’administration, de l’économie, de l’agriculture, de la production et de la productivité…
    Un jeune sénégalais ne doit pas être formé de la même manière qu’un jeune français ou américain, qui est formé pour être performant en France ou aux états unis d’abord.
    Notre jeunesse est notre futur, il faut la « formater »par rapport au modèle occidental et la « réinitialiser » par rapport à notre modèle propre pour prétendre à l’indépendance, à la croissance ensuite à l’émergence. Comme le disait Thomas SANKHARA « Il faut consommer ce que nous produisons »pour apporter de la plus value à notre économie nationale.Ca devrait commencer par la présidence de la République, l’administration jusqu’au bas de l’échelle sociale. Lors des grands projets, la préférence nationale doit être mise en exergue pour donner un souffle à nos entreprises privées locales. Equiper les édifices publics de mobiliers locaux à la place de ceux de « Louis 14 »qui peuvent être exposés à la future musée des civilisations. Diminuer de manière drastique les importations et faire du capital investissement sur la production du riz local, de l’arachide, du coton, des ressources halieutiques entre autres.
    Notre véritable indépendance c’est la préservation de nos matières premières et de nos ressources naturelles qui n’existent nulle part. Il y va de notre intérêt de ne pas les céder à vils prix pour ensuite les acheter à des prix exorbitants après leur transformation hors de nos frontières. Depuis toujours la France a beaucoup plus besoin de nous que nous d’elle donc il faut couper court avec cette France des lobbies économiques, diplomatiques et militaires. Cette option bne serait possible que si les 54 pays africains décident e créer un gouvernement fédéral qui gérerait l’économie, les ressources, la diplomatie, la sécurité de façon commune. Il faut que nous comprenions que nous diviser pour mieux régner nous désserent.Notre sol, notre sous sol sont riches, nous avons des ressources humaines qualifiées, nous avons un marché à explorer. Nous constatons une sorte de frilosité, une sorte d’accrochage à cette union avec la France sans intérêts qui nous conduit à rien. Nous devons avoir notre vision de notre développement. Tout ceci doit résulter d’une volonté politique extraordinaire, une solidarité pour faire face à cette frange du nord qui ne se laissera pas faire. Nos frontières sont ouvertes à tous les maux étrangers sans aucun contrôle et nos ressortissants sont intimidés, persécutés et humiliés à l’étranger. Voilà un problème d’inégalité.
    Une union africaine forte va nous permettre pour ceux qui sont en quête de ressources naturelles s’adressaient à une entité au lieu der d’adresser à 53 ou 54 états. Ceux qui s’intéressent à l’uranium comme le groupe français AREVA, vont négocier avec des interlocuteurs poids et non à des petits pays. On nous ferait la cour plutôt que de nous dénigrer comme on le fait en finançant certaines rebellions et /ou leaders pour arriver au pouvoir et à destituer des pouvoirs qui ne sont pas en phase avec leurs intérêts propres.
    L’union africaine ne se fait pas avec des discours mais avec des actes concrets en ayant des projets économiques communs, une libre circulation des personnes, des biens et services .Il faut impliquer les populations pour la concrétisation de ce projet. Pour revenir à notre cas particulier, un diagnostic doit être fait dans nos manières de faire. On constate le retour en force des intérêts français dans les sphères du pouvoir avec le groupe Bolloré, Anne MEAUX DG de Image 7 qui a eu à travailler avec WADE et Ben Ali de la Tunisie et une réelle volonté des nos autorités à confier la gestion d’un grand complexe hôtelier à un groupe français…
    Il faut que chacun y mette du sien quelle que soit la manière pour donner une bonne image de notre pays c’est-à-dire son image naturelle.
    54 ans, toujours rien ou pas grand-chose, on nous avait imposé la dévaluation, on nous trace notre de conduite qui n’aboutira jamais à notre croissance, ni à l’émergence encore moins à l’indépendance.
    Le Président Macky SALL qui est né après l’indépendance, devrait pouvoir incarner cette nouvelle vision d’un Sénégal nouveau, d’un Sénégal des valeurs avec une rupture avec ce pouvoir colonial mais que nenni.
    Depuis 2 ans, c’est le retour de l’impunité, de l’inégalité des chances, du népotisme, d’une justice à deux vitesses pour satisfaire une clientèle politique et lobbyiste. Etre indépendant dans tous les domaines, être indépendant partout et tout le temps pour qu’enfin un jour qu’on soit véritablement indépendant.
    LASS BADIANE
    Président Mouvement GRAND YOFF DIEUM KANAM
    76 755 -55-57

  • diouf

    tu doit la fermer et faire ce que tu mijotes depuis toujours cad rejoindre les rangs de l;apr il faut savoir que vous etes la bienvenue.les critiques accerbes ne riment a rien laisser le president macky travailler en paix;vous devez savoir que les locales sont pour nous pour ne pas vous dires c;est deja gagner.

  • Faites place Mme

    heu vraiment cette dame la nous sooouuuuuule! Ecoute madame ci nguente rek ngua djek diokhe ay yeeli mame ay pissou goro ak mboubou ndjeuke et que sais je encore C vrai que tu as ete ministre mais masso ham louy Etat Dou ay nate dee wala ay ndeye dikee. Vraiment Senghor war na ame lou ko metti.

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